Evan Nash
☼RUIZ☼

-ft-Taylor Lautner

(img 500*libre facilement trouvable sur tumblr)

Me ☼ Myself ☼ I

Je suis Evan Nash Ruiz âgée de 17 ans. Je suis né(e) le (18/12/2004) à Madrid. D'origines Anglaises, Canadiennes et Espagnoles, je suis de sang Pur. Je suis célibataire.
♬ Année d'étude : 7 ème.
♬ Baguette : Sculptée dans du bois de chêne, possédant en son milieu, de la poudre de griffe d'hyppogriffe, 25 cm, couverte de dessins faits par Katalina et moi-même, baguette équilibrée, un peu plus faible dans les incantation de soin, mais puissante lors des combats et métamorphoses.
♬ Patronus : Chien?
♬ Camp : Eclipse .
♬ Animal de compagnie : Sparrow, un adorable chaton de couleur blanche et grise. Gentil, mais jouette.
♬ Epouvantard : Loup Garou. Brrrr leur hurlement me fait frissonner de peur. Beurk!

☼Tell me a story☼

☼L'espoir fait vivre.. Mais la vie ne donne pas grand espoir☼

Salut ! Moi, c’est Evan. Evan Nash Ruiz pour être plus précis. Et oui, mon nom est hispanique, alors que mon premier prénom est Anglais et le second Canadien. En fait, Ruiz est le nom de la famille de mon père (Logique me direz-vous). Evan vient du prénom de ma mère, qui se nommait Aevane et Nash vient du nom de famille de mes grands-parents maternels. C’est une tradition dans la famille de mon père de nommer ainsi les enfants portant le nom Ruiz. La famille Ruiz est une ancienne famille de sorciers de sang pur, ils tiennent énormément à ce statut, même si certains d’entre eux mêlaient leur sang avec des moldus. Ma tante Gabriella Ruiz a suivi ce chemin. Son père (mon grand-père) l’a lâchement assassinée le lendemain de son mariage, tuant son moldu de mari devant ses yeux. Oui, oui, la famille Ruiz est très attachée à ses principes. Mon père, Alessandro Ruiz est moins conservateur que le reste de sa famille, mais l’éducation donnée par ses parents a toujours quelques répercutions sur lui, du coup, il est très méfiant vis-à-vis des moldus. Ma mère quant à elle, n’à jamais eu à se soucier de qui est moldu, qui ne l’est pas, sa famille est très laxiste à ce niveau là, tant que les sentiments sont là, peu importe si le sang qui coule dans cette personne est pur ou non. Dans la famille de ma maman, on retrouve plus de couples mélangés aux moldus, demi-sang, que dans celle de mon père. C’est pourquoi les deux familles de mes parents ne s’entendent pas. L’un qui dit « Mort aux infâmes moldus », l’autre qui prêche la paix entre les divers camps. Vive les fêtes de familles, c’est moi qui vous le dit !

Moi, je ne suis pas enfant unique. J’ai une sœur jumelle, Katarina (Nom de la sœur de ma mère), qui a failli mourir lorsque l’on avait 12 ans. Une sale affaire. Nous étions en vacance en Amérique du Sud, c’était rare que l’on se retrouve en famille alors bon, on profitait. Je ne me souviens plus précisément du pays dans lequel nous étions, mais c’était un pays pauvre et en fait, assez dangereux. Il ne s’agissait pas vraiment de vacance, en fait, nous avions suivis notre mère, qui était infirmière, et qui s’est portée volontaire pour aider pendant un mois dans un pays qui avait subis de nombreux assauts de révolutionnaires plus détraqués les uns que les autres. Nous étions en train de visiter la ville meurtrie par les multiples assauts armés des révolutionnaires désirant la liberté d’expression pour le peuple lorsque l’on croisa un gamin qui ne devait pas être beaucoup plus âgé que nous, portant une arme, dont le bas gauche était en sang.. :

Evan – Olà ! Dis-moi, tu es blessé ! Viens avec nous, on va te soigner !
Gamin – Non, je dois aider mon petit frère, venez m’aider, il est en danger !!
Katarina – Comment cela ? Que lui est-il arrivé ?
Gamin – C’est la polizia ! Ils l’ont attrapé, ils vont le tuer !!
Evan – Ils sont loin ? Il faut que l’on prévienne nos parents ils pourront nous aider !
Katarina – Je vais prévenir maman et papa. Toi pars en premier, on se rejoint ! Laisse une marque pour montrer l’endroit où tu es.
Evan – C’est dangereux, papa nous a dit de rester ensemble !
Katarina – On doit le faire, puis je ne risque rien, les parents sont à deux pâtés de maisons d’ici. Vas – y je te rejoins !
Evan – Oui. Fais attention à toi, ou j’te frappe !

Et elle partit en courant, je l’observais partir jusqu’à ce qu’elle tourne au coin de la rue et que je ne puisse plus la voir. Mon cœur, ma gorge et mon ventre se serraient, je détestais la savoir loin de moi. Mais je partis également en courant, suivant le garçon, qui se présenta lorsque l’on courrait. Il s’appelait Yann. On arriva bien vite à l’endroit ou Joachim, le frère de Yann avait eu des soucis. Une grande place déserte aux couleurs rouge sang. Que c’était-il passé ici ? Pourquoi y avait-il des corps par-ci, par-là ? Un affrontement, certes, mais pourquoi ces gens ne savent-ils pas régler leurs différends autrement ? Un cri au loin, d’un enfant torturé nous alerta, on allait aussi vite que possible dans la direction de ce cris. L’horreur me sauta au visage et écorcha mes yeux. Des policiers, autour de quelques prisonniers, dont un gamin, le frère de Yann, ils le frappaient avec des matraques enroulées dans des fils barbelés. Les pics acérés charcutaient la chair du gamin à chaque assaut. Ni une ni deux, Yann et moi défendions cet enfant et ces révolutionnaires, kalachnikov et pierres en main (Et oui, c’est moi qui ai trouvé l’idée des pierres comme arme ! ahah) nous fondions sur nos proies à vitesse grand V. Jusqu’à ce que des tirs retentissent et que je m’écroule quelques instants après, une douleur lancinante dans la poitrine, la vue du sang, puis la voix de ma sœur, de nouveaux coups de feux, puis plus rien.

Je me réveillai à l’hôpital El desgraciado, le malchanceux, bel intitulé. La douleur dans ma poitrine s’était muée en douleur générale, un seul mouvement et un cri de douleur m’arrachait la gorge tant la douleur était insupportable, on aurait dit qu’un tank m’avait roulé dessus (On m’apprit plus tard que je n’étais pas si loin de la vérité, une armada complète était arrivée sur place et les policiers se sont battus contre les révolutionnaires, me faisant écraser une fois ou deux, avant que mon père ne me sorte des émeutes). Mon regard se balada sur les visages familiers présents dans la pièce. Ma mère, mon père et même Yann. C’est alors que mon cœur s’emballa. Où était donc Katarina ?! Je suffoquais, pleurais, demandais où se trouvait ma sœur. La seule réponse de mon père était « Ne t’inquiète pas pour elle ». Je me souvenais, un cri, le sien, avant que je perde connaissance, Je retombais à nouveau dans l’inconscience, il faisait tout noir. Je ne le savais pas, mais ma sœur se faisait opéré lorsque je m’inquiétais pour elle, l’un comme l’autre nous nous enfoncèrent dans un profond coma. Pendant ce temps, nos parents nous firent rapatrier et hospitaliser dans un hôpital de Londre, ou l’on serait sûr des traitements plus professionnels. Quelques semaines plus tard nous nous réveillions ensemble, à quelques minutes d’intervalle en ayant loupé la rentrée scolaire. Je ne souffrais plus, ma blessure avait déjà cicatrisé. Nos parents venaient de partir, et, hors surveillance, je ne tardais pas à me lever, même si je ne tenais pas sur mes jambes, pour rejoindre ma sœur et la serrer dans mes bras. On pleura longuement, nous avions vécu un coma en commun pour le moins surprenant, c’est comme si l’on avait communiquer à travers nos pensées.. Mais elle m’avait tellement manqué. Peu après une infirmière venait pour changer nos Baxter et faillit s’évanouir en me voyant debout et en voyant Katarina rigoler de joie à pleine gorge ! Nous avions failli mourir et pourtant nous n’avions jamais été si heureux ! Bientôt nos parents arrivèrent en troisième vitesse, suivis des familles de nos deux parents qui avaient pour une fois mis leurs rancœurs de côté, tant ils étaient heureux que les deux derniers de la famille étaient sains et saufs ! J’appris bientôt que Yann et son frère Joachim étaient tous les deux sains et saufs, aujourd’hui encore nous communiquons.
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☼As I am☼

☼Caractère☼

Si l’on écoute ma sœur, elle vous dira que je suis un gentleman, brave et fier, toujours prompt à aider mon prochain, généreux, sûr de moi et gai. Si l’on écoute mon père, il vous dira que je suis un garçon qui recherche toujours à en connaitre plus sur la vie et ses mystères, un curieux insatiable, amoureux de la nature, gentleman et serviable. Si l’on écoute ma mère, elle vous rapportera que malgré le désordre qui garnis ma chambre, outre le fait que je suis un courant d’air que l’on ne voit jamais deux minutes pour discuter, et à part mettre le bazar là où je passe, je suis quelqu’un d’assez téméraire, franc et loyal, j’aime plaire et être libre, amical et joyeux. Et moi dans tout ça, comment je me vois ? Certainement pas sûr de moi. Certes j’aime plaire et j’ai un petit côté gentleman, mais je suis quelqu’un d’assez solitaire, hormis avec ma chère Katalina. Il s’agit bien de la seule personne avec qui je suis confiant et sûr de tout. C’est normal, c’est la seule que je connaisse bien. Elle et moi on se complète et je ferais tout pour la protéger. Je suis un peu trop protecteur envers elle, oui. Mais je suis aussi quelqu’un de loyal, et je ne supporte pas tellement l’injustice, si l’on se joue de moi ou de quelqu’un qui me tient à cœur, je suis capable de tout, même du pire. Je réagis au quart de tour, je suis quelqu’un qui a le sang chaud, comme toute la famille Ruiz, c’est le sang espagnol qui fait ça. Comme le dit mon père je suis curieux et je suis prêt à tout pour savoir ce que je veux. Bon élève quand je veux, je préfère faire des tours aux professeurs ou aux autres élèves, c’est d’autant plus marrant. Je suis quand même assez timide, donc mon cercle d’amis est assez restreint, mais même si j’ai de nombreux ennemis la majorité des gens m’apprécient. Que ce soit pour la politesse dont je fais preuve, ou même parce que je plais à certain(e)s, ou tout simplement parce que je suis un clown ! Je n’aime pas juger directement une personne, même si, comme tout le monde, il m’arrive d’avoir des préjugés. Il m’arrive d’être calculateur et sournois, mais c’est vraiment lorsque l’on m’embête ça ! La vengeance est un plat qui se mange froid et pour cela il faut être un fin stratège. Il m’arrive d’en venir vite aux mains, par conséquent je m’énerve rapidement et la patience, c’est quoi ça ? Je pense avoir tout dis…. Voilà, en gros, tout ça, c’est moi !

☼Behind the screen☼

☼Nom/Pseudo☼

Salut bah moi c'est Yoshi j'ai 18 ans. Je me suis une fille qui a trouvé SI grâce à GOOGLE. Je me suis inscrit(e) parce que Il a l'air intéressent et je trouve que le forum est vraiment beau. Je m'engage à être sur le forum 3/7jrs et je certifie avoir lu le règlement car je connais même le code que voici: Ok by Luc'
. Sur ce je vous laisse en vous faisant mes plus plates salutations et un petit mot pour la fin: Abracadabra?