![Qui a dit que Jumeau rimait avec proche ? [Roxane] Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) | | Sujet: Qui a dit que Jumeau rimait avec proche ? [Roxane] Mar 30 Aoû - 0:15 | |
| Fred II Weasley, digne fils de Georges Weasley propriétaire célèbre de la boutique de Farces et attrapes pour sorcier facétieux. Le jeune homme marchait sur les traces de son père et il représentait dignement le prénom de son oncle décédé lors de la bataille de Pourdlard il y a 19 ans. Enfin bref vous l’aurez compris le jeune homme est le genre à prendre tout à la légère, à tourner tout en dérision et à avoir une facilité déconcertante à faire croire que rien ne le touche vraiment. Beaucoup pense qu’il est sans cœur mais ce n’est pas le cas il a un cœur il ne veut juste pas qu’on puisse le piétiner du coup il le protège derrière son humour et ses vannes à deux balles qu’il lance dès qu’il le peut. Bref ce matin là Fred fut réveillé par les rayons du soleil qui tapait directement dans ses yeux, et quand il regarda l’heure qu’il était il fut surpris de voir qu’il était déjà presque 11h du matin bien heureusement on était samedi et il n’avait pas cours. C’est donc en douceur qu’il s’étira bien que comme tout les matins il se pris la barre de son lit baldaquin en se levant, c’était dingue ce que le matin il n’était pas réveillé… James lui dormait encore, seulement Fred ne l’entendait pas vraiment de cette oreille du coup il sauta sur son cousin et meilleur ami pour le réveiller. « FRED JE VAIS TE TUER ! » Hurla son cousin alors que lui partait déjà en courant, Jimmy le suivait de près baguette en main… C’est en bas dans la salle commune qu’ils cessèrent leur course poursuite… « Mais fallait bien te réveiller mon père doit m’envoyer une nouvelle cargaison de produit à essayer alors faut qu’on se bouge ! » Fred attendait en effet un nouveau colis de la part de son père, d’ailleurs c’est en remontant dans une ambiance bonne enfant avec son cousin jusqu’au dortoir qu’il trouva sur son lit un colis et une enveloppe. C’était l’écriture de sa mère qu’il y avait sur celle-ci sauf qu’elle ne lui était pas destiné, cette maudite chouette faisait toujours ça !! Du coup il allait devoir trouver sa sœur et lui donner la lettre, sauf que voilà entre lui et sa sœur l’entente n’était pas spécialement au beau fixe. Tout les deux ne se comprenaient pas ils étaient trop différents, c’était bizarre d’être jumeaux et d’avoir si peu de chose en commun… Notre jeune Weasley se tourna alors vers son cousin « Bon je te laisse ouvrir le paquet, je vais m’habiller et essayer de trouver ma sœur pour lui donner la lettre de ma mère… ».
Une fois habillé, Fred sortie de la salle commune des Gryffondor et se demanda où pouvait bien se trouver sa sœur à cet heure ci, il commença par la grande salle après tout il était midi à présent du coup les gens étaient descendu pour manger. Seulement elle n’y était pas, il soupira et pris la direction de la bibliothèque au quatrième étage il aurait peu être du commencer par là après tout il se doutait bien que c’était l’un des endroits favoris de sa sœur. Endroit où il n’allait jamais d’ailleurs enfin sauf pour y retrouver une fille ou son cousin James mais sinon il avait proscrit ce lieu de son champ d’action. Encore une chose qu’il n’avait pas en commun avec sa sœur, elle passait son temps dans ses bouquins pendant que lui passait son temps entouré de monde ou à faire des bêtises. Parfois il aurait aimé être plus proche d’elle mais il semblerait que se soit trop difficile il y avait vraiment un fossé entre eux… Fred marchait dans le couloir en direction de la bibliothèque et il tomba alors nez à nez avec sa sœur qui était seule pour ne pas changer… Fred était incapable de resté seul trop longtemps, il n’aimait pas la solitude, il aimait être entouré et se sentir aimer même détester ça le dérangeait pas du moment que les gens lui montrait un intérêt. Il interpella alors sa jumelle « Wouah je vois que tu es toujours aussi bien entouré… » lui dit il, c’était plus fort que lui il fallait toujours qu’il lui fasse une réflexion pourtant il s’était promis de faire une effort pour améliorer leur relation mais il n’y parvenait pas, de toute façon il n’était pas sur que sa sœur est la moindre affection pour lui certes il ne pourrait pas lui en vouloir mais ça blessait quand même.
Fred regarda ensuite sœur, puis lui tendit la lettre sur laquelle son prénom se trouvait, celle-ci était écrite par leur mère. Le jeune homme lui n’écrivait jamais à sa mère il n’en avait pas vraiment envie depuis la fois où elle n’était pas venu à leur anniversaire il y avait eu quelques choses de casser entre lui et elle. Il n’attendait plus rien d’elle pour ne pas être de nouveau déçu et blessé… La seule personne à qui il écrivait c’était son père c’est tout pour lui faire par de ses nouvelles idées, prendre des nouvelles ou encore demander de la marchandise à son père. « Tiens c’est bidule qui l’a laissé sur mon lit … C’est une lettre de maman ! » lui dit il attendant qu’elle s’empare de la lettre. Bidule était le hibou de leur famille, il était insupportable parce qu’il n’était pas rare qu’il se trompe de destinataire quand il s’agissait des jumeaux.
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| | Sujet: Re: Qui a dit que Jumeau rimait avec proche ? [Roxane] Dim 11 Sep - 17:38 | |
| Le soleil tapait à travers les fenêtres, le vent était inexistant, j'étais dans mon lit, tranquillement à me reposer. Non, ne lisez pas cette phrase, c'était totalement faux, j'étais dans la bibliothèque depuis son ouverture. Quoi un samedi ? Bien sur ! Que pourais je faire d'autre après tout. et puis j'avais un tas de devoir à finir. Alors voilà, 6h du matin, direction la bibliothèque. Je voulais m'avancer pour n'avoir rien à faire, mais même dans ces cas là, je savais que demain je serais encore là, pour apprendre autre chose, un livre par coeur par exemple. Bref, tout ca pour dire que ce n'était pas un jour qui changeait, j'étais toujours aussi dépourvue de joie de vivre en cette matinée. Oui mais de là à bosser.. Explications !
La veille, donc vendredi, j'avais passé une journée lourde, et la fin de semaine était souvent dure pour moi. Alors dormant peu, j'étais rentrée dans mon dortoir et m'étais endormie sans même aller dîner. J'avais adoré ce sommeil rare et réparateur que j'avais eu. Pour une fois que j'aimais quelque chose me diriez vous. C'était rare, et même moi je l'avouais. Les gens, l'amour, la vie, le chocolat, la nourriture, les études, Non, je n'aimais rien. Sauf si, peut être quelque chose : La liberté. Oh oui, que j'aimais cela, etj e n'attendais que d'avoir mes 17 ans rêvolue, de partir de Poudlard pour ne plus avoir affaire à personne. Mon père, ma mère, mon frère. Mes parasites, ma vie par la même occasion. Ma haine et mon étincelle de bonheur à la fois. Ils étaient tout de chez tout. Le mal et le bien, le néant et l'univers à mes yeux.
C'était clair, j'étais complexe comme fille, et cela, personne ne le nier. Si j'avais cet air fragile de fille inutile, je ne l'étais pas pour autant. JE n'hésitais pas à dire quand je le voulais, ce que je pensais. Parfois, je l'ouvrais aussi un peu trop.. Mais avant d'en venir au critique que l'on pourait me lancer dessus, certes, je me montrais discrète, presque invisible. J'étais le paradoxe du monde à moi toute seule parfois. Et Fred m'avait souvent faire des reproches sur cela. Mais bon j'étais née ainsi, ou l'on avait fait de moi une personne aussi bizarre. Enfin bref, voilà pourquoi il n'y avait rien d'étonnant à ma solitude, celle ci n'était pas nouvelle et s'était ma meilleure amie. Je ne m'en plaignais pas, même si au fond, j'aurais aimé pouvoir me rassurer en me disant que j'avais des personnes sur qui comptait, des personnes à aimer.. Oui, mais qu'au fond.
Bref, dans la bibliothèque, je m'étais avancée, j'avais rêvisé, je n'avais adressé à personne. En même temps il n'y avait rarement grande monde un samedi matin, mais bon, des fois, il fallait esperer. J'y étais restée plusieurs heures, comme passionnée par le travail que j'avais à faire. Alors quand faites, il ne suffisait que de se lancer dedans, et le tour était joué. J'étais par la suite, sortie de la bibliothèque, sans savoir quel heure il était, j'avais un peu perdu la notion du temps. Sans savoir ce que j'allais faire après. Pourquoi ne pas aller.. au dortoir, puis.. Oh je detestais les week end, il n'y avait pas pire se morfondre sur son sort. Je n'avais rien à faire à part cela, mes livres, je les connaissais déjà par coeur, il faudrait que j'aille vers un saut, un jour au chemin de traverse histoire d'acheter une série de livres divers.. Pourquoi pas de métamorphose, la chose la plus passionnante de la magie à mes yeux. Puis, alors que je regardais mes baskets, j'eus un sursaut en voyant d'autre pied devant moi. Oui, en parcourant le couloir pour retourner à ma salle commune, je venais de tomber devant l'être le plus cher pour moi, mais aussi le plus detestable aux yeux de ma tête.
Fred.
Une réflexion. Comme une insulte. A ce moment précis, j'avais envie de lui cracher dessus, pour lui montrer que il fallait mieux se tenir face à sa jumelle. Cependant, mon visage restait sans émotions. Réflexion futile, sans interêt ou pour ne serait que satisfaire son besoin habituel de me critiquer. Voilà à quoi servait une soeur. J'avais envie de lui répondre qu'il n'avait pas d'amour pour ses proches, du moins pour ma personne, alors que on disait que le liens de jumeaux était le plus fort. Foutage de gu*ule. Il n'y avait rien de pire. C'était la meilleure chose pour se detruire mutuellement avec une autre personne. Oh oui ,quelle bele connerie. Pourtant, même notre père disait du bien de son lien avec notre oncle décédé. Quand j'étais un peu plus jeune, lors de mon entrée à Poudlard, je lui avais demandé. Pourquoi eux, ils s'étaient entendus. L'explication ?! Inexistante bien sur. Il m'avait dit que c'était quelque chose que seul les personnes ayant un double pouvaient comprendre. Mais moi, je ne pigeais rien de rien.
<<- Et toi, je vois que tu es toujours aussi stupide. >>
Je lui pris la lettre des mains, le remerciant mais si doucement que je n'étais pas sure que ce soit perceptible pour lui. Et oui, malgré les réfléxions méchantes qu'on se balancait tout les deux, ce n'était peut être pas si catastrophique.. Il venait m'apporter une lettre, il n'en était pas obligé, et j'avais eu l'amabilité de le remercier malgré son " bonjour du matin" D'ailleurs, cette lettre m'étonna. Alors elle avait quand même répondu malgré les réflexions méchantes et démonstratif de mes voeux, elle avait osé de nouveau répondre.. Sans doute pour balancer des excuses qui ne serviront à rien. Je levais les yeux au ciel avant de l'ouvrir, de sortir le bout de papier. Juste un passage du regard dessus. Et je ne m'étais pas trompée. bien qu'il y avait pire. Les éloges sur mon frère. " Si tu aimais le quidditch on pourait être plus proche, tu as qu'a demander à ton frère, c'est un joueur extraordinaire". Blalabla. Elle n'avait que ce mot à la tête, le quidditch. Dans un légèr emportement, je lancais à mon jumeau.
<<- Et ben tu sais quoi ?! Si pour toi être fort au quidditch et avoir des pseudo ami c'est une vie, j'préfére encore aller crevée toute seule. Je compte bien être toujours aussi " bien accompagnée " même dans un an, et loin de vous tous ! >>
Oh oui, j'étais en colère. Fred ne devait pas comprendre, et d'ailleurs, je lui balancais la lettre à la tête. A croire que c'était de famille. Quoi que si, mon jumeau devait pigé à peu prês. Ces pétages de cables, c'était souvent pour lui, ou pour les parents. Mais vu que il se retrouvait plus souvent en face de moi qu'eux.. Ben voilà. Certes sur la lettre il n'était pas fautif, il n'avait pas demandé d'être mentionné dedans.. du moins j'espèrais. Mais j'avais encore sa reflexion qui me restait en travers de la gorge.
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