Je suis Iséa May Cartwright âgée de16 ans. Je suis née le 6 septembre 2004 à Bath. D'origines écossaise, je suis de sang pur. Je suis célibataire, mais fiancée.
♬ Année d'étude : 6ème ♬ Baguette : Bois de Saule-Pleureur, Ecaille de Dragon, 25,8 cm ♬ Patronus : un husky sibérien ♬ Camp : l'Eclipse ♬

Hibou de Léanne Cartwright à John Craine

Si jamais tu avais envie de le savoir, ta fille est née. Ne te considérant pas comme digne d'avoir ton nom de famille transmis à travers les générations, celle que j'ai honte d'appeler NOTRE enfant, se nomme Iséa May Cartwright. Elle est MA fille et je t'interdis de l'approcher. Compris, John ? Tu nous a abandonnés, moi et tes deux fils, dans une galère pas possible. Heureusement que tes garçons sont capables d'assurer notre survie. Voilà ce que j'appelle un vrai "homme". Tu a longtemps parlé de mariage et tu n'as jamais eu le courage de me demander ma main, jusqu'à ce que j'apprenne, après sept ans de vie commune, que tu passais la bague au doigt d'une autre. Ironie du sort, je me marie dans trois semaines. Ni toi, ni ta potiche de Norvégienne n'êtes invités, cela va de soit. Et si tu veux en savoir plus, le futur beau-père d'Iséa se nomme Charles Dufréau et est canadien. Il est médicomage et ainsi, ma petite fille grandira dans un milieu intellectuel et aura tout ce dont elle rêve.

Je vous souhaite beaucoup de malheurs à toi et ta gourde.
Léanne

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Hibou de John Craine à Léanne Cartwright

Je ne vais pas m'excuser d'aimer une autre femme, Léanne. Tu ne m'intéresses plus mais par contre, je reste toujours le père biologique d'Iséa et au titre de notre pacs, certes rompu, j'ai droit de la voir. Tu ne pourras, juridiquement, m'empêcher de voir ma fille et d'être à ses côtés pendant son enfance et son adolescence. Ton homme de science ne remplacera jamais la présence d'un véritable père. Je la verrais demain, à 17h à la clinique. Tu n'as pas le choix, je ne te le donne pas.

Ména et moi te remercions pour tes voeux de bonheur, que nous vous retournons.
John.

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Bon, je crois que c'est assez clair, l'ambiance dans laquelle je suis née. A vrai dire, mes parents ont continué à se comporter de la même manière l'un envers l'autre. Et c'est toujours le cas. Charles aime maman d'un amour ardent mais elle, ne lui trouve plus aucun intérêt et passe ses soirées en compagnie de jeunes hommes. Oui, ma mère est une couguar. Mais Charles a le courage de rester à la maison, car il nous aime, moi, mes frères et la petite fille qu'il a eue avec maman. Je dois avouer que c'est une des rares personnes a avoir mon respect. Il nous a sortis de la mouise quand je suis née et même si c'était il y a très longtemps, je lui suis redevable d'avoir grandi dans une splendide demeure au lieu de notre appartement crasseux. Tzevan et Gabriel sont du même avis que moi. A vrai dire, Charles, c'est mon père et je l'appelle "Papa" en français, sa langue natale, que je maîtrise parfaitement. Je n'aime pas John, mon père biologique, même si j'ai hérité de nombre de ses traits physiques et mentaux. Mais j'adore ma belle-mère, Ména. Elle est douce et protectrice et je dois dire qu'entre les longues absences de maman et les soirées arrosées de John, c'est Charles et Ména qui m'ont véritablement élevée. Mais vous ne connaissez pas la meilleure ! Charles et Ména se sont enfin rencontrés, il y a deux ans. Ils avaient d'affreuses idées l'un sur l'autre, leur compagnon respectif ayant exagéré dans le mauvais sens leur description. Ils se sont adorés et ont fini par tomber amoureux. Pour ne pas ressembler à maman et John, ils ont préféré faire les choses correctement. Ména a divorcé de John, gardant avec elle Paul et Sven, son fils d'un précédent mariage ; Charles a divorcé de maman, gardant Charlotte avec lui. Ména et Charles se sont installés ensemble, dans la grande maison de mon enfance, après que Charles aie gentiment mis maman dehors. Maman est retournée vivre avec John tout en ronchonnant ; John l'a accueillie à bras ouvertes, tout en grommelant. Et ils ont fini par se rendre compte qu'ils s'aimaient toujours. --' En gros, dans cette histoire, j'ai été ballottée de droite à gauche pour finir par aller vivre avec Ména et Charles, que je considère comme mes VRAIS parents et qui m'ont élevée. Je voudrais tant avoir les caractères doux et agréables de Ména et Charles. Mais pour mon plus grand malheur, j'ai hérité de ceux, tempêtant et agressifs de mes parents. Ména et Charles sont l'eau ; je suis le feu. Heureusement que Tzevan et Gabriel sont comme moi, parce que je me sentirai comme un OVNI, dans cette famille recomposée. Charlotte et Paul, plus jeunes que moi, & Sven sont tous à Poudlard et ils ne cessent de se vanter d'être mes frères et soeurs. Tzevan, qui est en septième année à Serpentard, ne peut s'empêcher de frotter énergiquement les cheveux de Sven quand ils passent. Résultat, ça finit en baston fraternelle et ils se tombent dans les bras en pleurant de rire, les cheveux en bataille et des ecchymoses sur le visage et le corps. Ma famille est ainsi. J'ai d'excellentes relations avec eux, parce que Tzevan et Gabriel ont le même caractère que moi ; Charlotte, Paul et Sven, c'est tout le contraire. Ne cherchez pas à comprendre, ça fonctionne très bien.

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Ah, j'oubliais. Maman et John, depuis qu'ils se sont pathétiquement rabibochés, se sont mis en tête de me faire épouser un riche héritier sorcier, de sang pur. Ils n'ont rien trouvé de mieux qu'un nobliau français élève à Beauxbâtons et fils aîné d'une famille extrêmement riche : Antoine Léopold D'Aigle Noir Delatour. Trouvez plus pompeux. Je n'ai aucune envie de finir Iséa May D'Aigle Noir Delatour, même si je dois l'avouer, ça sonne bien. J'ai rencontré cet inconnu et il se trouve qu'il est amoureux de moi, comme pas possible. Il a même fait peindre un portrait en plein-pied de moi, comme antan, qu'il a accroché dans sa chambre. Ainsi, il dit penser à moi tous les matins en se levant. --' Dans ma chambre à moi, il y a des posters des Harpies de Hollyhead ; une affiche géante du dernier festival musical de sorciers, avec un autographe d'Arthur MacHallister en prime ainsi que des messages de mes amis et des photos d'eux. Une chambre d'ado, en somme. je crois que sur la décoration, Antoine et moi n'allons pas nous entendre. Et comme je déteste ne pas voir mes désirs exécutés à la lettre et que j'ai horreur d'avoir tort, ça va barder ! Si je l'épouse un jour, ce noble de deux sous. Comme il a fallu plaire à maman, John et mamie Cartwright - qui croit dur comme fer au retour de Lord Voldemort, en même temps, maman fut mangemorte, John aussi et mamie C. a été une grande amie de Bellatrix Lestrange - nous avons dû nous fiancer, officiellement. Et pour prouver que je l'épouserai plus tard, Antoine a voulu que je porte une partie de son nom de famille, ainsi qu'un anneau d'or. Sur les papiers, depuis un an et demi, je suis Iséa M. Cartwright D'Aigle Noir ; lui est Antoine L. D'Aigle Noir Delatour Cartwright. Un peu moins classieux, je dois l'avouer.

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La pluie battante tapait contre les stores de la chambre. Pelotonnée entre les épaisseurs de couvertures, la petite Iséa regardait les gouttes glisser le long de la vitre, en un ballet des plus gracieux. le vent soufflait très fort à l'extérieur et l'enfant espérait que son beau-père rentre vite du travail. Charles était médicomage et rentrait tous les soirs à 20h, heure à laquelle elle devait aller se coucher. Mais jamais sans avoir embrassé Charles. Le heurtoir de la porte d'entrée retentit, faisant sursauter la brunette qui sauta au bas de son lit et, en pyjama, pieds nus, traversa le couloir jusqu'à l'escalier qui donnait directement sur le hall d'entrée et la porte. Léanne Cartwright vint ouvrir, une cigarette au bec et les pieds chaussés de mules difformes rapportées d'un voyage en Orient. Elle embrassa Charles et retourna à la confection de ses potions. Iséa dévala l'escalier et se plaça devant son beau-père, les mains derrière le dos et la joue tendue.

<< Mon baiser du soir ! >> réclama-t-elle en souriant de toutes ses petites dents blanches.

Au lieu de juste l'embrasser, Charles la prit dans ses bras et monta à l'étage, en lançant un regard à son épouse repartie s'enfermer dans la cuisine. Il monta jusque dans la chambre mansardée de sa belle-fille et la glissa sous les couvertures, lui souriant. Il la borda puis lui chanta la berceuse qu'elle aimait tant et qui racontait l'histoire d'un Moldu roulé par un Gobelin, à cause d'une bourse de deux Noises. Lorsqu'il eut fini, il murmura.

<< Demain, nous sommes dimanche et je t'emmène au parc ! >>
<< Oh, chouette ! >> applaudit la gamine, du haut de ses quatre ans.

(...)

Lorsque le coq chanta l'aurore, Iséa était déjà debout, lavée et habillée. Elle descendit dans la cuisine et tenta d'attraper la bouteille de lait dans le haut frigidaire. C'est à ce moment-là que Tzevan débarqua, les yeux rougis de sommeil. Du haut de ses huit ans, il attrapa le lait et s'en versa un bol, à raz bord, avant de reposer la brique près du lavabo, trop haut pour les petites mains d'Iséa qui eut beau tempêter et taper des pieds, son grand frère remonta dans sa chambre sans broncher. Lorsque toute la famille descendit prendre le petit-déjeuner, Iséa demanda à Charles où était le parc et s'ils allaient y passer la journée. Lorsque la réponse à la seconde question fut "oui", Iséa monta vite dans sa chambre et prépara son sac pour ses aventures de la journée. Lorsqu'elle redescendit, Charles l'attendait en bottes Wellington, un parapluie sous le bras et le chapeau de pluie de la demoiselle dans son sac à dos, accompagné du déjeuner et du goûter. C'était la première fois qu'Iséa avait la permission de sortir parmi des Moldus. En effet, ses parents craignaient l'effusion de magie, qu'ils seraient incapables de contrôler. Mais tout se passa à merveille. Lorsque le duo arriva près des bacs à sable, Iséa remarqua aussitôt une petite fille qui ne semblait pas plus âgée qu'elle et qui jouait non loin. Ses cheveux étaient d'un joli brun couleur du chocolat et sa peau était pâle. Un peu comme elle, en fait. Elle enleva son manteau de pluie, car le soleil réchauffait légèrement la journée, et courut vers le sable, s'approchant de la petite fille inconnue.

<< Comment tu t'appelles ? >> demanda-t-elle en souriant de toutes ses dents, tandis qu'elle lorgnait sur les jeux d'un trio d'enfants un peu plus loin, que la petite fille en face d'elle semblait également envier. << Moi, c'est Iséa ! >>
<< Je suis Crystal. >>

Iséa le sut aussitôt. Crystal et elle, ce serait pour la vie. Rien que d'un regard, elles se comprirent : " allons leur piquer leurs jouets ". Elles passèrent la première après-midi commune de leur vie et revinrent jouer presque tous les jours, faisant plus ample connaissance. En grandissant, leur relation s'est développée. D'amies de bac à sable, elles sont devenues amies d'enfance puis meilleures amies et les voilà toutes deux à Poudlard. Iséa et Crystal sont des garces. Prenez garde.

La méchanceté n'est que le reflet du mal-être qui te ronge.

Iséa est une garce, mais elle en est fière. En même temps, ce tempérament lui vient de sa mère. Dès toute petite, elle a toujours été ainsi. Et lorsqu'elle a rencontré Crys, au bac à sable, ce côté de sa personnalité s'est fortement développé. Iséa est manipulatrice et opportuniste. Elle se joue de la confiance aveugle de certaines personnes et trompe nombre d'honnêtes gens. Avec sa meilleure amie, tous les coups sont permis. Les heures de retenue, Iséa n'a pas assez de doigts pour les compter. Elle est même devenue copine avec Miss Teigne. C'est pour dire, si elle passe du temps dans le bureau de Mr Rusard, ou à nettoyer la Salle des Trophées sans magie.

Elle est hautaine et glaciale au premier abord et avec le plus grand nombre. Elle n'a pas de préjugés ni de principes idiots qui font qu'elle déteste telle ou telle maison. Iséa n'a pas le défaut de classer trop facilement les gens. Si elle méprise un Poufsouffle ou un Gryffondor, c'est seulement lui. Pas sa maison, ni ses amis. Elle ne croit pas aux ragots, c'est pourquoi les idées reçues, elle n'en a cure. Si elle veut connaître les gens, que ce soit pour les découvrir ou les détruire, elle le fera à la source.

Elle adore critiquer, c'est son passe-temps favori. Que ce soit les vêtements, les attitudes, le physique ou le mental, elle critique tout le monde. A commencer par elle-même. L'auto-dérision, Iséa connaît et maîtrise parfaitement, mais seulement en comité restreint. Elle a horreur de s'humilier en public, ou de se donner en spectacle. Si elle doit faire un coup tordu, ce sera dans un couloir sombre du château, où personne ne remarquera son méfait. Ce n'est pas de la lâcheté, car Iséa est courageuse. Voire téméraire. Son problème, c'est qu'elle ne connaît pas ses limites, puisqu'elle les repousse sans cesse. Alors à jouer avec le feu, on se brûle.

Malgré la bague de fiançailles qu'elle porte au doigt, Iséa n'est en aucune façon amoureuse d'Antoine D'Aigle Noir. Elle voudrait un homme intelligent, qui la fasse rire et qui surtout, comprenne que derrière sa méchanceté, se cache une blessure profonde : celle de n'avoir jamais eu d'importance aux yeux de ses parents biologiques. Par son caractère, elle cherche à attirer l'attention sur elle. Elle veut qu'on la remarque, qu'on l'aime. Pourtant, elle donne difficilement sa confiance. Si on perd sa confiance, c'est à jamais. Elle ne revient jamais sur ses décisions et se fie toujours à sa première impression.

Salut bah moi c'est Emmy j'ai 18 ans depuis le 6 septembre 8D. Je suis une fille qui a trouvé SI grâce à Crystal Shadow. Je me suis inscrite parce que le design est à tomber & le forum me paraît très bien et je trouve que le forum est beau. Je m'engage à être sur le forum 2/7jrs, CPGE oblige =S et je certifie avoir lu le règlement car je connais même le code que voici: Ok by Luc'. Sur ce je vous laisse en vous faisant mes plus plates salutations et un petit mot pour la fin: je vais faire bouger Poudlard 8D