Shane (Angel)
☼SWORD☼

-ft-Olivia Wilde

Me ☼ Myself ☼ I

Je suis Sword, Shane Angel âgée de 24 ans ans. Je suis né(e) le 31/12/1997 à Londres. D'origines Anglo-Canadienne, je suis de sang pur. Je suis célibataire. ♬ Métier : Professeur de Métamorphose && Directrice de Serpentard?♬ Baguette : Bois de Chêne, 33 cm, crin de sombral ♬ Patronus : Un cheval sauvage ♬ Groupe : Crépuscule ♬

☼Tell me a story☼

☼Parmi les êtres humains, on ne reconnaît pleinement l'existence que de ceux qu'on aime.☼

Salut. Moi, c’est Shane. Shane Angel Sword. D’où me viennent ces prénoms et ce noms? Je n’en sais strictement rien. Tout ce que je sais, tout ce qui est en ma possession, c’est une lettre où sont transcrits mes noms et prénoms. Une lettre dans laquelle on ne m’explique rien sur mon passé, sur ma naissance, sur ma famille. Tout ce que je sais, c’est qu’à l’âge d’à peux près deux semaines, j’étais dans un genre de panier, avec un essuie, sensé me tenir chaud, sur le pas de la porte d’un orphelinat miteux, abandonné par mon géniteur. Dans la lettre qui m’accompagnait, on pouvait y lire :

Madame, Monsieur,

J’espère que vous aurez vite trouvé cet enfant, que je vous ai laissé au pas de votre porte. Si je vous la laisse, c’est parce que ma femme est décédée suite à l’accouchement, et je n’avais déjà pas l’envie d’avoir un enfant, mais une fille, encore moins. La dernière volonté de ma femme était d’appeler sa fille Shane Angel Sword.

Il serait vain de laisser à la gamine, espérer me retrouver avec son nom de famille, car il s’agit du nom de jeune fille de sa mère. Lorsqu’elle aura l’âge de dix ans, dites lui tout de même qu’elle est de sang pur. Elle comprendra, ou pas. Sa mère était Anglaise et moi, je suis Canadien, elle est née à Londres le 31 décembre à minuit.

Merci d’en prendre la charge.

X. A.


Quel père extraordinaire ce X.A. n’est-ce pas? La seule chose que j’aime en lui, c’est qu’il ne soit pas moldu. Quoi que, sa lâcheté débordante me laisserait à penser qu’il en est un.. Enfin. M’abandonner dans cet orphelinat, c’est bien la chose qui me dégoûte le plus chez cet homme. Encore, il m’aurait laissé chez les sorciers.. Mais non, chez des moldus! Il faut le faire, non?! Ces gens me répulsent au plus haut point. Pourquoi? Ah ah, vous aimeriez tout savoir n’est-ce pas?

Je suis donc née le 31 décembre 1997, à Londres, où plus précisément? Je n’en sais rien. Deux semaines après ma naissance, j’étais à l’orphelinat. Avec une bande d’idiots moldus, aucun d’entre eux ne valait mieux que l’autre. Oh, bien sûr je ne le savais pas encore qu’il y avait une nette différence entre eux et moi. Je grandis dans une ambiance morne où le plus fort survit aux autres. Aucune règle, à part respecte les adultes, fais ce qu’on te dit et tait toi. On était des gamins sans parents, sans repères. Aussi les plus grand ordonnaient aux plus petits de leur donner leurs repas, on devait obéir sinon ils nous frappaient. Comment faire, lorsque aucun adulte n’est là pour calmer le jeu? Obéir. Les adultes.. Si rare, ne faisaient rien de toutes manière lorsqu’une bagarre éclatait, lorsque l’un des résidents saignait à flot, se cassait un membre ou autre. Moi, comme je faisait partie des plus jeunes et que je refusais d’obéir aux autres, je me faisais toujours frapper. Il ne passait un jour sans qu’un nouveau bleu, une nouvelle cicatrice apparaisse.

Je les détestait. A huit ans, seuls les tout grands de 14 à 18 ans osaient encore m’embêter et me frapper. Sinon, je n’avais plus peur des autres. A cet âge, si l’on voulait plus à manger, ou autre chose que cette étrange nourriture sans goût et molle, il nous fallait d’aller voler. J’ai été prise deux fois à voler. La correction pour les voleurs à l’orphelinat? Le fouet. On vous fouettais le dos jusqu’à ce que, tellement en sang, vous ne ressentiez plus les coups. Ça faisait si mal, que si l’on ne vous ramenais pas dans votre chambre, vous n’auriez jamais su y aller seul. C’était un véritable enfer. En tout cas, avec moi, ça a marché. A la deuxième fois, j’ai préféré mourir de faim, plutôt que de subir ce traitement une nouvelle fois.

Je venais d’avoir dix ans. Le directeur de l’institution dans laquelle je résidais m’appela dans son bureau. Il me déclara que j’étais une sang pur. Je le regarda d’un drôle d’air l’air de dire qu’il était fou, où même qu’il avait bu. Tenant une enveloppe qui captura mon regard, il me tint à peu près ce discours :

- Vois tu cette lettre Angel? Tu sais qui l’a écrite? Hé bien il s’agit de ton père. Elle était dans le panier qui t’accompagnait lorsqu’on t’a accueillie.

Accueillie? Quel charmant accueil, à ce prix là, ils auraient du me laisser mourir de froid dehors. Le regard interrogateur, je me demandais quel serait le prix à payer pour obtenir cette lettre. Des bruits courraient chez les filles. Lorsqu’un parent laissait un objet à l’enfant, ou ne serait-ce que la couverture dans laquelle l’enfant était lorsqu’il est arrivé à l’orphelinat, les filles devaient rendre un petit «service» au directeur contre cet objet insolite.

- Cette lettre révèle le nom de ta mère ainsi que tes origines.. Néanmoins pour l’obtenir, il faut me rendre un petit service.. Tu sais, à mon âge, on a certains besoins..

Tout en disant ça, il s’était levé de son bureau, puis approché. Posant ses mains sur mes épaules, puis descendant doucement, je me leva d’un bond et poussa l’homme. Commençant à hurler des insultes sorties d’on ne sait où, l’homme m’attrapa et me plaqua contre un mur. Posant l’une de ses main sur ma bouche, me rendant silencieuse. J’avais beau me débattre, l’homme était grand et fort. Moi, j’étais petite et je n’avais que la peau sur les os. L’homme m’attacha, je ne sais comment, me bayonne et fit sa petite affaire, n’en ayant cure que je pleurais, que je voulais mourir, une heure ou deux, plus peut-être? Je n’en sais rien, c’est à moitié consciente qu’on me ramena dans la chambre où l’un des lit était le mien. La lettre fut placée dans le meuble où étaient rangées mes quelques affaires. Cette chambre, encore heureux, n’était pas mixte. Nous étions 6 filles dans cette chambre, Nos âges étaient les suivants : 5 ans, 8 ans, 10 ans (moi), 14 ans, 16 ans et 17 ans. Les trois plus âgées avaient compris ce qui c’était passé. Elles avaient vécu la même chose. Et ce n’était pas fini. Le lendemain, onze heures tapantes, les trois filles me mirent en garde.

- Le directeur était le premier.. Et ce ne sera pas le seul.. D’abord les surveillants, puis les garçons... On préfère te prévenir.. Plutôt que tu ne l’apprenne par surprise...

En effet. Le surlendemain, ce fut au tour des surveillants. et quelques semaines plus tard, les orphelins s’y mirent également. J’étais cassée, souillée... Je voulais mourir, mourir ou m’enfuir. Telles étaient les solutions qui s’offraient à moi. Quelques jours après, mon évasion avait lieu. Tout était mieux que là bas, c’est sur, même la rue serait sûrement plus sûre que cette prison.. Le matin venu, je sortis discrètement.. En sautant de la fenêtre de ma chambre, située au deuxième étage, me tordant au passage la cheville, je partis en courant le plus loin possible. Même si j’avais peu de forces, je courrais vite. Mon endurance n’était pas si mal que ça. Habillée de vieux haillons, la figure salie, je courrais dans les rues de Londres, alors que les passant me regardaient courir, soit surpris, soit dégoûtés. Je traversais les routes, sans regarder si les voitures étaient proches ou non, je courais jusqu’à ce que ma tête tourne, que mon souffle se soit perdu et que mes jambes lâchent sous mon maigre poids. J’avais finis ma course dans une petite ruelle étroite et sombre. Il n’y avait personne, c’était calme et silencieux. Blottie dans un coin, je tentais de reprendre mon souffle. Je m’endormis.

Alors que je sombrais depuis quelques heures déjà dans les limbes du sommeil, une main se posa sur mon épaule, je sursauta, me releva en une seconde et me cala de l’autre côté de la rue, regardant l’individu. Encagoulé dans une sorte de cape noire, mon cœur s’emballa. L’individu se tourna vers moi, je partis à nouveau en courant il commençait à faire noir, combien d’heures étaient passées? A l’orphelinat, ils avaient du remarquer mon absence et maintenant, ils étaient peut-être à ma recherche.. La personne en noir était peut-être l’un des surveillants?! Mon regard se troublait, des larmes m’empêchaient de voir correctement. Traversant ce qui ressemblait à un carrefour, un bruit strident, puis un gros boum, et plus rien. Le noir complet.

Une voiture m’était rentrée dedans, je fus envoyée à l’hôpital, diagnostique des médecins, une commotion cérébrale, la jambe droite cassée, le genou gauche démolis, une fracture ouverte au bras droit, quelques côtes cassées, et quelques unes foulées. De nombreuses petites éraflures au niveau du visage et des membres. Je suis restée un mois dans le comas. En me réveillant, j’étais seule dans la chambre, tournant mon regard, tentant de me redresser, mais la douleur était forte. Tout ce que je voyais, c’était un calendrier, avec noté les jours passés. Et aujourd’hui, nous étions le 15 juillet. Je toussa. La porte s’ouvrit, laissant apparaître une personne avec une cape noire. Mon cœur s’emballa. La même personne que l’autre jours? Un éducateur? La peur et la haine m’envahirent en même temps, un vent étrange souffla dans la chambre d’hôpital, les lampes s’allumèrent et s’éteignirent, les meubles tremblaient.

Laissez moi, ne m’approchez pas!

La personne enleva sa cape et un soupir calma les évènements troublants de la chambre. Je ne connaissait pas cette personne. Il s’agissait d’une femme, pas très jeune, mais pas vieille non plus. Mon regard se posait sur elle, la détaillant. La femme parla calmement tout en s’approchant doucement du lit.

- Je ne te ferai pas de mal ne t’en fait pas. Je dois t’annoncer que l’orphelinat dans lequel tu as passé ces 10 dernières années à été fermé il y a deux semaines. Des jeunes filles sorties de là ont porté plainte. De plus, vu l’état où tu te trouvait, les services sociaux ont trouvé juste de fermer cet établissement et de mener les responsables devant la justice.

Ça me faisait une belle jambe. Ils n’aurait pas pu faire ca avant? Des larmes se mirent à couler sur mes joues à nouveau. Ces évènements... Me traversaient l’esprit.. Occupaient tout mon esprit plutôt. La femme prit à nouveau la parole, tout en prenant place avec grâce dans un fauteuil à côté du lit.

- Néanmoins, ce n’est pas pour cela que je viens te voir. Toi qui auras bientôt 11 ans, nous avons constaté chez toi, certaines aptitudes. Aussi tu es inscrite depuis ta naissance à la grande école Poudlard. Il s’agit d’une école de magie très célèbre dans le monde des sorciers.

Poudlard? École des sorciers? La magie ça n’existe pas... Vous me prenez vraiment pour une cruche?

- Comment expliques-tu les meubles qui tremblaient, le vent dans la chambre et les lumières qui s’éteignaient et s’allumaient il y a quelques instants?

Le métro passe à côté, il faut changer les ampoules, et il y a eu un courant d’air. Prouvez le moi, alors, si vous possédez soi-disant des pouvoirs.

- Ma foi. Que veux-tu que je fasse?

La lettre de mon père. J’aimerais la récupérer

La sorcière sorti la lettre de sa cape et me la tendit. Elle ajouta néanmoins qu’il ne s’agissait pas là d’un fait magique, elle l’avait en sa possession depuis quelques jours, depuis que l’orphelinat avait fermé ses portes.

Merci.. Si vous saviez ramener ma mère à la vie...

- Je ne suis pas en mesure de faire cela j’en suis désolée...

C’est nul.. A quoi ça sert alors la magie, si on ne peux pas faire des choses comme ça?!

- Avec des potions on peux te remettre sur pied en quelques jours. On peux faire beaucoup de choses.

Tuez ceux qui m’ont violée et violées d’autres filles à l’orphelinat!

- La magie ne doit pas être utilisée à tors, pour enlever la vie à des gens...

Je peux avoir un truc à manger, qui ait du goût, ne soit pas moisis et pas mou de partout?

La sorcière fit apparaître un énorme hamburger, des frites et du soda. La bouche grande ouverte, les yeux écarquillés, mon regard fit l’aller-retour entre la sorcière et la nourriture. C’était incroyable! Je n’y croyait absolument pas! Je rêvais, j’hallucinais. La sorcière m’offrit trois potions que je du boire à contre cœur. Je mangeais la nourriture apparue par magie et au bout de cinq heures, mes os s’étaient rétablis. La sorcière, après m’avoir trouvé des vêtements décents, m’emmena dans un pub, où l’on passa la nuit, pour la première fois de ma vie, j’avais une chambre dans laquelle il n’y avait pas d’air qui passait par la fenêtre, pas de souris ni de rats qui grignotaient par terre et vous réveillaient en vous sautant dessus. Une nuit paisible, même si les cauchemars m’empêchaient de dormir plus de deux ou trois heures d’affilée.

Le lendemain matin, la sorcière m’emmena acheter des fournitures scolaires, je n’avais aucun argent, mais l’école paya pour moi. Je détestais la charité. Mais j’en avais besoin.. Je passa le reste des vacances chez la sorcière, puis vint la rentrée. Je pris, comme tous les élèves, le train 9 3/4. La première année fut difficile, envoyée chez Serpentard, c’est là que l’on me demanda pour la première fois de quel sang j’étais. Le sang pur! voilà donc la signification des paroles de mon géniteur! J’étais un enfant né de deux sorciers de sang purs! Néanmoins, malgré ce statut, j’avais d’énormes difficultés la première année. Je ne savais presque pas lire.. Alors pour les ingrédients de potions, les travaux à remettre et j’en passe... C’était bien difficile! Néanmoins, je réussis avec brio mes 7 années à l’école Poudlard, ne sachant pas trop quoi faire comme métier, je me décide à l’âge de 24 ans, à enseigner à l’école qui m’avais sorti de la misère. J’aurais toujours un profond respect pour cette école et quelques uns de ses enseignants. Le poste de professeur de métamorphose, mon cours préféré à l’époque, était justement libre! Autant en profiter, je postulais directement pour ce poste.. Ainsi que pour être directrice de la maison des Serpentards, la maison qui m’avait jadis accueillie!

☼As I am☼

☼Caractère☼

Du plus loin que je me souvienne.. Je n’ai jamais réussi à la fermer. J’ai toujours eu un caractère très fort, même si à une période j’ai bien eu l’impression de céder face au poids de la douleur qui se trouvait au fond de mon coeur. Le fait que j’ai grandi dans un Orphelinat à tel point horrible doit jouer sur mon caractère de manière plutôt indélébile. Devenue méfiante des hommes, ayant un grand mépris des moldus et de tout ce qui s’en approche, ma confiance envers ces derniers est inexistante. Les moldus sont le mal incarné. Les hommes en sont la plus laide représentation. Il faut avouer qu’avec le temps, je suis devenue quelqu’un de très solitaire. Vous ne me verrez jamais rechercher le contact de quelqu’un.. A moins bien sûr qu’il s’agit là d’une importance capitale. Je déteste au plus haut point l’irrespect, c’est pourquoi en classe je réclame la plus grande politesse et qu’un seul chuchotement me parvienne aux oreilles et les individus se ramasseront le sortilège du bloclang et se verront enlever des points ainsi qu’une pile de devoirs. Je n’ai guère d’amis.

Comme dit précédemment, je suis solitaire et moins je croise de personnes, mieux je me sens. Quoi que, être en compagnie de femmes ne me gêne absolument pas. Ce qui me dérange, ce sont les hommes. Je suis néanmoins quelqu’un d’agréable lorsque j’apprécie la personne. J’ai une espèce de carapace. Pour les gens normaux, je suis fière, froide, sadique et exigeante. Pour les personnes que je considère comme digne de confiance, une très faible minorité masculine, ainsi qu’une majorité féminine écrasante, on me trouve plutôt attachante, drôle, compréhensive, assez gentille mais toujours un peu fière et avec de grandes difficultés de confiance. Il faut savoir que ces personnes sont principalement des personnes ayant les mêmes intérêts et le même dégoût des moldus... Par conséquent notre humour est quand même assez bien assorti lorsque l’on parle de ces idiots de moldus...

Il m’arrive de repenser à mon passé, ou bien à ce père qui m’a abandonné, à cette mère qui est décédée... Et ces jours là.. Il vaut mieux ne pas être en ma compagnie. Que ce soit dans la classe ou en privé. Tout le monde ressente cette colère qui me ronge, telle une aura destructrice. Si je donne cours ce jour là, un seul bruit et l’élève en pleurera. En dehors de l’école.. Si l’on vient m’adresser la parole, je monte sur mes grands chevaux et repousse violemment les personnes.

Les jours de pluie, il ne faut pas s’étonner de me voir assise dehors en train de prendre une douche habillée. J’aime sentir l’eau couler sur moi, j’ai l’impression de me vider l’esprit, d’être dans une sorte de bulle, loin des gens, de leur connerie. Je me sens comme revivre, je me ressource quoi. Par contre, les jours de beau temps, moi, je me cache. Je n’aime pas tellement le soleil. Je déteste avoir chaud et rares sont les jours où je me prélasse au soleil. La neige... J’aime tellement ça.. L’hivers serait la seule période où l’on risque de me voir avec un sourire aux lèvres.. La neige est si pure, si revigorante! Et puis... A cette période.. Je peux lancer des boules de neige sur les élèves sans qu’ils ne s’en aperçoivent! Et moi, j’en rigole bien!

☼Behind the screen☼

☼Nom/Pseudo☼

Salut bah moi c'est Teshi/Yoshi, alias Evan N. Ruiz, alias Gaëtane j'ai 18 ans. Je me suis une fille qui a trouvé SI grâce à Google is my BFF. Je me suis inscrit(e) parce que J'aime l'ambiance, le design et l'intrigue et les membres du forum et je trouve que le forum est top . Je m'engage à être sur le forum 3/7jrs et je certifie avoir lu le règlement car je connais même le code que voici: Ok bye Crys. Sur ce je vous laisse en vous faisant mes plus plates salutations et un petit mot pour la fin: Je suis si heureuse de connaitre ce forum... SI <3