L'hiver pointait le bout de son nez, et ça se ressentait. Les feuilles avaient quittées leurs places pour se déposer par terre. La forêt interdite était devenue un peu plus effrayante sans toute sa verdure. Le vent soufflait fort aujourd'hui. Il sifflait entre les tours du château, mais l'habitude de l'entendre ne faisait plus sursauter personne, sauf les 1ère années. Le week end était enfin arrivé. Je l'avais attendu avec impatience, car cette semaine avait été chargée en devoirs. J'avais donc profiter de ce samedi pour dormir plus longtemps. Je n'étais pas allé déjeuner et j'avais passé toute la matinée à travailler pour ne plus avoir rien à faire demain.

A midi, je montais dans la grande salle avec mes amis serpentards. Je cherchais Rebekah des yeux, mais ne la trouvais pas. A la place, je vis Evangeline, une pouffsoufle qui me donnais envie de vomir. Cette fille, je ne pouvais pas l'encadrer. Je fronçais les sourcils en détournant le regard. J'allais sûrement allé me balader cette après-midi. L'air frais me ferait du bien. A la fin du repas, je suis retourné dans ma chambre pour me changer. Eh bien oui, je n'allais tout de même pas aller dehors en short et en débardeur ? Je n'est pas vraiment la notion du froid tant que je ne suis pas dehors au contact de l'air glacial. Je me déshabillais et enfilais donc un pull ,un jean et de bottines. Je mis également un manteau et une grosse écharpe. Je n'étais tout de même pas folle au point de ne pas m'habiller ; je savais très bien qu'il faisait froid dehors.

C'est un grand sourire aux lèvres que je sortais du château. La plupart des élèves restaient à l'intérieur dès que le froid arrivait. Ce qui rendait le parce et ses alentours toujours très calme. Je vis un couple rentré, le nez et les joues rougit par le froid, les doigts entrelacés. L'hiver pointait le bout de son nez, et ça se ressentait. Les feuilles avaient quittées leurs places pour se déposer par terre. La forêt interdite était devenue un peu plus effrayante sans toute sa verdure. Le vent soufflait fort aujourd'hui. Il sifflait entre les tours du château, mais l'habitude de l'entendre ne faisait plus sursauter personne, sauf les 1ère années. Le week end était enfin arrivé. Je l'avais attendu avec impatience, car cette semaine avait été chargée en devoirs. J'avais donc profiter de ce samedi pour dormir plus longtemps. Je n'étais pas allé déjeuner et j'avais passé toute la matinée à travailler pour ne plus avoir rien à faire demain.

A midi, je montais dans la grande salle avec mes amis serpentards. Je cherchais Rebekah des yeux, mais ne la trouvais pas. A la place, je vis Evangeline, une pouffsoufle qui me donnais envie de vomir. Cette fille, je ne pouvais pas l'encadrer. Je fronçais les sourcils en détournant le regard. J'allais sûrement allé me balader cette après-midi. L'air frais me ferait du bien. A la fin du repas, je suis retourné dans ma chambre pour me changer. Eh bien oui, je n'allais tout de même pas aller dehors en short et en débardeur ? Je n'est pas vraiment la notion du froid tant que je ne suis pas dehors au contact de l'air glacial. Je me déshabillais et enfilais donc un pull ,un jean et de bottines. Je mis également un manteau et une grosse écharpe. Je n'étais tout de même pas folle au point de ne pas m'habiller ; je savais très bien qu'il faisait froid dehors.

C'est un grand sourire aux lèvres que je sortais du château. La plupart des élèves restaient à l'intérieur dès que le froid arrivait. Ce qui rendait le parce et ses alentours toujours très calme. Je vis un couple rentré, le nez et les joues rougit par le froid, les doigts entrelacé. Une pointe de nostalgie perça en moi. J'aurais tellement aimé allé me balader avec quelqu'un à mes côtés.

Mes jambes me menèrent près du lac. Une silhouette se trouvait près du bord. Je m'approchais un peu plus, car je ne reconnaissais pas la personne qui était de dos. C'était une fille, pas très vieille, avec de longs cheveux bruns. Elle me disait vaguement quelque chose. Alors, pour vérifier que je la connaissais, je fis le tour pour la voir de profil. Dès que j'eus reconnus Ania, mon souffre-douleur, la pauvre pouffsoufle, un sourire sadique s'étira sur mon visage. Mes yeux firent vite le lien entre une branche qui se trouvait non loin, et la demoiselle. Je lançais un sortilège d'expulsion sur la branche pour qu'elle atterrisse dans le dos de la pouffy. Puis, je la rejoignis à grandes enjambées.

« Tu es toute seule, personne n'a voulu venir avec toi. Oh ma pauvre Pouffy ! T'inquiète pas, je suis là maintenant. J'espère que je t'ai manqué ? »

Une petite moue d'enfant malheureux fit place à mon sourire.