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A.B.C ▲ quand tu ne sait plus quoi dire, tu te met a pleurer

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MessageSujet: A.B.C ▲ quand tu ne sait plus quoi dire, tu te met a pleurer A.B.C ▲ quand tu ne sait plus quoi dire, tu te met a pleurer EmptyJeu 8 Déc - 5:41




Abernathy Brooklyn
☼ CATTERMOLE ☼
-ft-freya mavor

A.B.C ▲ quand tu ne sait plus quoi dire, tu te met a pleurer Tumblr_lquyc4CAxY1qavzqjo2_r2_500
(img 500*libre facilement trouvable sur tumblr)


Me ☼ Myself ☼ I


Je suis Cattermole; Abernathy Brooklyn âgée de 16 ans ans. Je suis né(e) le 14/04/2005 à Glasgow. D'origines écossaise, je suis de sang pur. Je suis célibataire.
♬ Année d'étude : sixième ♬ Baguette : 27,6 centimètre en bois de rosier, avec un crin de lincorne a l'interieur ♬ Patronus : un Koala ♬ Camp : éclipse ♬



☼Tell me a story☼


☼Citation☼


«Mes parents ont toujours été des gens bien, des gens simple comme disait mon père. Parce qu'il roulait dans une grosse voiture aux vitres teintées, et aussi parce que notre pelouse, il l'avait fait importé tout droit d'Irlande. Pour avoir un plus jolie gazon que les autres. Oui, mes parents ont toujours été des gens simples comme ils disaient, des gens avec des valeurs. Non, ils ne s'aimaient pas. Leur mariage, c'était une histoire arrangée par leurs deux familles. Parce que mon père était un bon partie , et que ma mère, elle, elle avait tout d'une future bonne épouse, fertile et serviable. Sorcière de sang pur. Ma mère depuis que je suis petite, je l'ai toujours vu sourire. Jamais un mot déplacé, jamais une phrase de travers. Ma mère c'est une femme bien, du moins c'est ce qu'elle disait. Pourtant elle n'a jamais été capable de m'élever correctement. Mon père lui, aussi simple soit il, s'est toujours prit pour un héro. Il était persuadé, ça oui, que ses brillantes études et sa grande conviction envers les gens de son sang garderaient sa petite famille hors de tout. Et ce fut vrai. Ma famille ne manqua jamais de rien. J'étais la dernière d'une famille de huit enfants. Oh oui, j'étais le genre gamine modèle. Mes frères et soeurs ont toujours été exemplaires, et la vie de ma famille dictée par de nombreuses règles. Numéro 8 ; on ne met pas les coudes sur la table, numéro 12 ; on ne sort pas de table sans demander la permission au par avant, numéro 14 ; réveil tout les matins a 6h pour la première prière de la journée, numéro 27 ; l'alcool est a bannir, numéro 1 ; pas de relations sexuelles avant le mariage. Oh oui, mes parents étaient des gens simples, dirigés par des principes qui l'étaient beaucoup moins. Seulement eux, a tout ça, il y croyait. Alors j'y croyais aussi. Dès que je fut en mesure de marcher, on me confia a celle que j'appelais Nany. Et elle, elle était simple. Elle avait un langage qui souvent me faisait sourire, et une façon de faire qui par son naturel me surprenait. Alors que chez moi, chaque geste était mesuré, chaque parole contrôlée, avec elle, tout était différent. Elle parlait comme un homme, marmonnait des tas de choses que je ne comprenais pas. Pourtant rapidement, cette femme et son chignon toujours défait devint ma seule compagnie. Parce qu'a l'école, non, je ne m'entendais pas vraiment avec les autres enfants. Dès que je fus en mesure de lire, je me cachais et je lisais. C'était mes moments a moi. Parce qu'au fond, je crois que quelque chose chez eux m'effrayait, quand ils couraient, hurlaient. Mais Nany, c'était différent. A l'heure du déjeuner, elle m'asseyait face a mon assiette et elle parlait. Elle me racontait ses voyages, les gens qu'elle avait put rencontrer. Et moi petite fille, sans jamais lui parler, j'écoutais. Parce qu'au milieu de ma vie sans imperfections, elle avait quelque chose de rassurant, ma Nany et ses méchants mots.

Et puis tout a basculé. Quand j'ai découvert mes pouvoirs pour la toute première fois, en mettant maladroitement feu a la nappe a carreaux de ma mère, tout a changé. Ce soir là, ma mère a mit Nany a la porte, en prétextant que j'étais devenu une grande fille, capable de m'occuper de moi toute seule. Et a moi un peu plus tard, elle me disait que je ne devais plus me mélanger avec les gens comme elle, que je devais m'éloigner un maximum de ces gens trop loin de notre sang. J'étais de ceux qu'elle qualifiait d'élite, et je devais le rester. Et moi encore une fois, tout ça j'y croyais. Mon père pour la première fois depuis bien longtemps semblait fière de moi, fière de l'enfant que j'étais devenue. Et moi, ça me plaisait qu'il me regarde comme quelqu'un de bien. A partir du moment où l'on fit la découverte de mes pouvoirs, ma mère refusa que je me rende a l'école, pour que j'évite les moldus qu'elle disait, parce qu'ils étaient néfastes, bien trop néfaste, et moi j'y croyais. Alors a la maison, elle me fit l'école, et m'apprit la magie. Ou plutôt m'apprit elle a haïr ceux qui ne la possédaient pas. Parce que oui, j'ai finis par les détester. Parce que si au début, au tout début, je m'appliquais a dessiner des visages sur mes cahiers, ma mère en le découvrant haussa la voix. Elle hurlait, et moi je ne comprenais pas ce que j'avais fait de mal. Jusque là, personne ne m'en avait empêché. Ce soir là, mon père m'envoya dans ma chambre dont je ne sortais que pour manger. Il m'expliqua que son oncle c'était marier a une sang-de-bourbe et ne voulait pas que la même chose m'arrive. Et j'y restais jusqu'à mes onze ans. Là dans ma chambre, ma mère montait pour m'apprendre ce que j'avais a savoir. Les choses qu'elle disait, elles rentraient dans ma tête, elles s'y ancraient; Et peu a peu, je suis devenue comme elle. Je ne dessinais plus, parce que c'était un passe temps pour les moldus trop idiots. Je ne lisais plus non plus que des livres écrit par d'illustres sorciers. Les idées des autres, je ne voulais plus les connaître. Quand aux gens, ceux qui lors de mes rares moments de liberté passaient a côté de moi en me souriant, je les détestais. Pourquoi ? Parce que mes parents m'avaient apprit a penser de la sorte. Oui, avec le temps, j'ai oublié tout ce qui avait bercé mon enfance. Finit les contes de fées et les enfants qui jouent a s'attraper. En apprenant l'existence de mes pouvoirs, on m'a forcé a grandir trop vite. Et je l'ai fais. Parce que ça leur faisait plaisir, a mes parents.

Et puis a onze ans, moi, sorcière, on m'a envoyé a Poudlard. Je crois qu'au fond moi, l'idée me plaisait. Parce qu'enfin j'allais pouvoir voir des gens. Des gens comme moi. Et puis, je voulais savoir, je voulais apprendre. Alors Poudlard, c'était une nouvelle vie. Sauf qu'arrivée là bas, j'ai pas été envoyée là où ils voulaient. Mes parents, Serpentard qu'ils avaient dit. Je devais aller là bas, parce que c'était la tradition. Je devais faire honneur a mon rang. Tout ça. Sauf que c'est pas là bas qu'on m'a envoyé. Et la toute première fois où je suis rentrée chez moi, alors que moi, mes parents, j'aurais voulu me demander comment ça allait, comment j'allais moi. Y a seulement eu des éclats de voix. Ils hurlaient que j'étais le déshonneur de la famille. La tache des Cattermole qu'ils disaient. Et moi je m'en voulais. Alors depuis, je rentre plus chez moi. Mes parents, ils ne m'adressent plus la parole. Je suis plus leur fille qu'ils disent. Alors moi, je respire. Comme si enfin, on me laissait vivre. Moi je m'appelle Brooklyn Cattermole, je suis une sorcière. Et une famille, j'en ai plus vraiment...» Brooklyn Cattermole, la protagoniste

« Brooklyn ma chérie, vient donc par ici, le chauffeur est là, dépêches toi donc. » C'est souvent que madame elle appelle la minaude pour sortir. Leurs soirées mondaines, c'est presque tous les soirs qu'ils s'y rendent, et moi je comprends pas bien ce qu'ils y trouvent, là bas. Madame elle s'est bien habillée, elle a sortit ses jolies bijoux et son plus beaux manteau. Monsieur, il doit travailler, encore. Dans la journée, c'est souvent que ces deux là ils sont absents. Monsieur travaille beaucoup, et Madame, elle sort souvent avec ses amies. Je sais pas ce qu'elle leur trouve moi, a ces femmes. Et puis y a Brooklyn, ma toute petite Brooklyn. Quand elle était petite, c'est moi qui m'occupait d'elle, parce que ses parents ils me disaient qu'ils avaient pas le temps de s'en occuper. Et puis moi je le savais bien, que les mômes c'est quand les chiens, si tu les élèves pas bien, souvent ils s'en vont, et puis Brooklyn, la petite Brooklyn, je la trouvait bien trop jolie pour finir chien errant. Je frappe a sa porte, une pile de draps sur les bras, et puis je rentre. Brooklyn c'est comme ma minaude a moi, elle me raconte ses histoires, et puis, elle me met dans la confidence quand elle disparaît par la fenêtre de sa chambre. Elle est assise sur son lit, avec une jupe tellement courte qu'elle plairait surement pas a Madame, alors je pousse un soupir en rangeant le linge. Je voudrais lui dire que c'est pas bien sage, de sortir comme ça, qu'elle pourrait peut être rester a la maison pour une fois, et puis que plus tard, si elle continu comme ça, elle finira comme moi, a s'occuper du linge et des minauds des gens qu'ont eu de la chance. Elle mérite pas ça Brooklyn. « Je dois sortir, dis leur que j'ai encore de la fièvre et que je dois me reposer. » Dans son sac, elle fourre a peu près tout ce qu'elle trouve. J'ai jamais bien compris cette manie qu'elle a, alors encore une fois, je dis rien. Dans son placard, j'attrape un pull que je glisse dans son sac. je sais qu'elle l'enlève dès que j'ai le dos tourné, mais moi ça me rassure, je voudrais pas que Brooklyn elle attrape froid. Mais elle a bien changé ma petite princesse, elle ressemble plus trop a la petite fille qui assise a table osait pas mettre les coudes sur le bois. Ca me paraissat bizarre a moi, cette petite fille trop bien élevée. A l'époque, elle disait pas grand chose, elle souriat souvent, et puis elle marchait comme une renne. Ah ça oui, les instructeurs ils en avaient fait une poupée presque parfaite de ma Brooklyn. Dans son sac, elle attrape le pull que mon manque de discrétion n'aura pas su lui cacher, et puis elle embrasse ma joue en souriant. Oui, Brooklyn elle est plus pareil. quand elle était minaude, elle voulait devenir comme sa mère, une femme riche, qui pourrait avoir pour seul soucis sa garde robe. Mais elle était intelligente, alors elle s'est dit qu'elle pourrait faire de bien belles choses. Brooklyn, j'aime pas quand elle m'embrasse comme ça, parce que je pourrais presque tout lui pardonner. Monsieur et madame, ils disent trop rien quand je descend dans le grand salon et que je leur dis que la gosse elle peut pas descendre, qu'elle est malade a creuver, que je vais lui faire un bon potage pour la remettre sur pieds. Ils s'inquiètent jamais de trop. "Tu devrais pas partir comme ça, et puis tu devrais te couvrir, tu vas attraper la mort."» Elle me regarde comme quand c'était une petite fille. Je le sais bien moi, que si elle sort c'est pour un garçon, sinon elle se ferrait pas jolie comme ça. Lui, elle m'en a jamais parlé, peut être parce que c'est son premier vrai amoureux. Je le vois dans son regard, c'est comme si ça pétillait. Ca doit être un garçon bien. "Brooklyn, nous t'attendons ma chérie !"» Alors la minaude, elle ouvre sa fenêtre et elle glisse ses jambes a moitié nu, et puis elle jette son sac dans le vide. Moi je me dis a chaque fois que je pourrais pas sauter comme ça sans savoir où je vais tomber. Mais elle elle sait, et on dirait bien que ça lui fait plaisir a Brooklyn, de prendre des risques pour une fois. Elle m'adresse un sourire, et puis voilà, disparut ma princesse. parfois je me dis que je devrais la retenir, essayer de la faire redevenir la petite fille sage qu'elle était avant. Mais quand je la vois ma Brooklyn, heureuse, je la laisse partir. encore une fois.» Nanny, la nourice



☼As I am☼


☼Caractère☼


« Brooklyn c'est une fille bien, une comme les parents ils aiment bien présenter a leurs amis. Je le sais, parce que quand elle était gamine Brooklyn, c'est moi qui venait la chercher a l'école. C'était une gentille minaude t'sais. Elle parlait pas vraiment beaucoup, elle me regardais juste avec ses grands yeux bruns, et moi, ça me rendait toute bizarre. Comme si la gosse, comme ça elle arrivait a savoir tout plein d'choses. Pourtant Brooklyn, elle parlait presque pas. Une fois sa mère, que c'était sa faute elle m'a dit, que la minaude, elle avait un problème ou quelque chose comme ça. Elle disait qu'elle était malade la gosse. Alors moi a Brooklyn, je lui racontais ma vie. Elle était pas bien grande, mais ça se voyait dans ses yeux qu'elle écoutait. Et moi de plus en plus, je me disais que c'était une bonne petite fille. A l'école, toujours qu'elle s'est bien débrouillée. Toujours. Pourtant, moi je le savais bien qu'elle écoutait pas. Parce qu'elle écoutait seulement ce qu'elle voulait Brooklyn, et puis que l'reste du temps, elle partait je sais pas trop où. Une fois je lui ai demandé, et elle m'a dit que si je voulais, un jour, elle m'amènerais. C'était une brave fille Brooklyn, qui faisait tout pour plaire a monsieur et madame ses parents. Fallait la voir avec ses petites mains, bien habillée, bien coiffée, a tout faire pour qu'ils la voient. Une poupée que c'était Brooklyn. Une poupée en porcelaine, tellement qu'moi a leur place, j'aurais eu peur de la briser. Oui, ma Brooklyn c'était le genre de gamine bien élevée, qui met pas les coudes sur la table, qui parle pas en mangeant, rien. Moi des fois, j'aurais bien aimé t'sais, qu'elle fasse des choses comme les autres minauds. Qu'elle mette les mains dans son assiette. Mais elle le faisait pas. Brooklyn, c'était une poupée. Pas vraiment bavarde, plutôt réservée. Des amis, je sais même pas si elle en avait la gosse. Moi je pense pas. Parce qu'a l'école t'sais, quand je venais la chercher, tout le temps qu'elle était toute seule, pressée de partir. Moi je trouvais ça pas bien gaie, qu'une petite fille elle soit toute seule. Mais quand je l'ai dis a madame sa mère, elle m'a dit que c'était normal, que Brooklyn, elle avait de l'éducation, qu'elle venait d'une bonne famille, et qu'elle n'avait pas besoin de se laisser embarquer par les idées des autres. Alors moi je l'ai cru. Parce que quand j'lui demandais a Brooklyn comment qu'elle allait, elle me répondais que ça allait. De la connerie tout ça. Mais Brooklyn, jolie poupée, quand elle était juste une minaude, elle y croyait.

Et puis la gamine, elle a grandit, et moi madame sa mère elle m'a dit qu'ils avaient plus besoin de moi, que Brooklyn, elle avait plus besoin de personne pour aller la chercher a l'école ou lui faire a manger. Qu'elle avait changé, et que c'était mieux que je parte. Alors je suis partie, et Brooklyn, ma gamine, elle m'a écrit. Des tas de lettres qu'elle écrivait, et c'était sacrément jolie. Moi je le savais bien depuis le début, que la gamine, perchée comme elle était, elle devait écrire des biens jolies histoires. Sauf que celles là, elles étaient juste pour moi. Brooklyn, elle me racontait sa vie, et moi, je restais là et je savais pas trop bien ce que je devais faire. Parce que la poupée, je sais pas trop bien comment ils ont fait pour la briser. Mais ça oui, des morceaux y en avait partout. Et moi elle me plaisait pas, la gosse que je découvrais. Elle devenait comme eux Brooklyn. Parce qu'elle a toujours voulut leur faire plaisir a monsieur et madame ses parents, qu'ils soient fières d'elle. Elle a toujours voulut qu'ils la voient. Pourtant cette Brooklyn là, elle parlait presque trop, elle racontait des tas de choses, et pourtant moi derrière ses lettres, je me surprenais a sourire. Parce qu'elle me racontait qu'elle sortait la nuit par la fenêtre de sa chambre. Et ça ses parents, non, ils le savaient pas. Brooklyn pour eux, c'était la gamine sage, celle qui s'assoit sur le banc de son école et puis qui rentre. Point. Et puis aussi Brooklyn, j'le sentais bien qu'y avait des choses qu'elle me disait pas, des choses importantes. Elle disait que j'étais moldu, que je comprendrais pas. Et effectivement, je comprenais rien. Parce qu'au fond, je pense que Leeda, elle est un peu sauvage tu vois. Mais je sais pas comment ils ont fait, je sais pas mais ils ont réussit a lui mettre des choses dans sa jolie petite tête. des choses qui lui ressemblaient pas. Et puis avec le temps, ma Brooklyn, elle s'est éloigné. Elle est devenue froide, et puis elle me disait que c'était pas bien pour elle de parler avec quelqu'un comme moi. Elle disait que j'étais pas aussi bien qu'elle, qu'au fond, je la méritais pas. Et moi ça me faisait du mal. Presque hautaine qu'elle était devenue ma princesse. Différente. Parce qu'avant que je parte, Brooklyn c'était une bonne gamine, intelligente, sage, et puis qui souriait souvent. Maintenant, c'est plus pareil. Elle est distante, elle est froide. Comme si y avait quelque chose qui allait pas. » Nanny, La nourice.




☼Behind the screen☼


☼Nom/Pseudo☼


Salut bah moi c'est Dreamcatcher j'ai 18 ans. Je me suis une fille qui a trouvé SI grâce à google. Je me suis inscrit(e) parce que harry potter enfin !!! et je trouve que le forum est vraiment magique (l) magnifique css et très beau désign. Je m'engage à être sur le forum 5/7jrs et je certifie avoir lu le règlement car je connais même le code que voici: Ok by Eze'. Sur ce je vous laisse en vous faisant mes plus plates salutations et un petit mot pour la fin: cowabunga



Dernière édition par A. Brooklyn Cattermole le Jeu 8 Déc - 17:44, édité 2 fois
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Beth M. Scott
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MessageSujet: Re: A.B.C ▲ quand tu ne sait plus quoi dire, tu te met a pleurer A.B.C ▲ quand tu ne sait plus quoi dire, tu te met a pleurer EmptyJeu 8 Déc - 8:17

Née le même jour que Beth à 1 an près ! A.B.C ▲ quand tu ne sait plus quoi dire, tu te met a pleurer 2837247228

Bienvenue A.B.C ▲ quand tu ne sait plus quoi dire, tu te met a pleurer 675700275
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Ezechiel C. Morgan
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MessageSujet: Re: A.B.C ▲ quand tu ne sait plus quoi dire, tu te met a pleurer A.B.C ▲ quand tu ne sait plus quoi dire, tu te met a pleurer EmptyJeu 8 Déc - 9:30

Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche ^^ n'hésite pas si tu as des questions.
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Mischa J. Winchester
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MessageSujet: Re: A.B.C ▲ quand tu ne sait plus quoi dire, tu te met a pleurer A.B.C ▲ quand tu ne sait plus quoi dire, tu te met a pleurer EmptyJeu 8 Déc - 13:26

bienvenue =)
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MessageSujet: Re: A.B.C ▲ quand tu ne sait plus quoi dire, tu te met a pleurer A.B.C ▲ quand tu ne sait plus quoi dire, tu te met a pleurer EmptyJeu 8 Déc - 17:55

Merci =D J'pense avoir terminer ma présentation
Karen Gillan (l) je veux un lien !
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MessageSujet: Re: A.B.C ▲ quand tu ne sait plus quoi dire, tu te met a pleurer A.B.C ▲ quand tu ne sait plus quoi dire, tu te met a pleurer EmptyJeu 8 Déc - 19:28

Bienvenue ici \o/
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Sasha E. Burton
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Humeur : Triste
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Un rp ?: Overbooké
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MessageSujet: Re: A.B.C ▲ quand tu ne sait plus quoi dire, tu te met a pleurer A.B.C ▲ quand tu ne sait plus quoi dire, tu te met a pleurer EmptyJeu 8 Déc - 19:49

Welcome !!
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MessageSujet: Re: A.B.C ▲ quand tu ne sait plus quoi dire, tu te met a pleurer A.B.C ▲ quand tu ne sait plus quoi dire, tu te met a pleurer EmptyJeu 8 Déc - 20:09

Eh eh bien, une Cattermole.... Je pensais jamais n'avoir à hésiter avec ceux de ton rang... Les gens changent semblerait-il... SERDAIGLE !!

(je te valide, ta fiche est très satisfaisante même si je regrette de ne rien savoir sur ta si grande famille ^^ et puis... C'est qui Leeda ? xD bref. Ton patronus est déjà pris à deux reprises, n'y a -t-il pas un autre animal qui puisse te correspondre car nous n'acceptons pas tant de doublons ? Pense bien à recenser ton avatar et ton patronus ainsi qu'à faire ensuite tes fiches de liens/rps et ouvrir ta boite à hiboux à la volière)
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MessageSujet: Re: A.B.C ▲ quand tu ne sait plus quoi dire, tu te met a pleurer A.B.C ▲ quand tu ne sait plus quoi dire, tu te met a pleurer EmptyVen 9 Déc - 1:16

Merci beaucoup (l)
Deux fois ? J'vais prendre le Koala =D
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Beth M. Scott
Beth M. Scott
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MessageSujet: Re: A.B.C ▲ quand tu ne sait plus quoi dire, tu te met a pleurer A.B.C ▲ quand tu ne sait plus quoi dire, tu te met a pleurer EmptyVen 9 Déc - 1:59

A. Brooklyn Cattermole a écrit:
Merci =D J'pense avoir terminer ma présentation
Karen Gillan (l) je veux un lien !
Un Whovienne ?Rolling Eyes En tout cas tu aimes Karen donc A.B.C ▲ quand tu ne sait plus quoi dire, tu te met a pleurer 2694943838

Oh wii, un un super lien What a Face
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Ezechiel C. Morgan
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MessageSujet: Re: A.B.C ▲ quand tu ne sait plus quoi dire, tu te met a pleurer A.B.C ▲ quand tu ne sait plus quoi dire, tu te met a pleurer EmptyVen 9 Déc - 11:59

Parfait pour le Koala ^^ tu peux procéder au recensement et je déplace ta fiche ^^ bon jeu
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MessageSujet: Re: A.B.C ▲ quand tu ne sait plus quoi dire, tu te met a pleurer A.B.C ▲ quand tu ne sait plus quoi dire, tu te met a pleurer Empty

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