Un mariage forcé. Non une rencontre et le grand amour.

Le château était secoué par le bruit des préparatifs pour la soirée. Toute la famille DeBellay était enthousiasme à cause de l’événement qui allait se produire, tous sauf Julien. Lui ne voulait pas subir cette tradition stupide, il ne voulait pas épouser une fille qu’il ne connaissait pas. En plus comme la tradition le voulait il fallait qu’il se pari avec une sorcière. Depuis qu’il avait appris ce petit détail, ses nuits étaient hantées par l’image d’une femme avec un chapeau pointu volant sur un balai. Il avait parlé de ses craintes à sa mère, mais immédiatement elle lui avait ri au nez.

Le jeune homme attendait, assit sur son lit le moment fatidique. Il ne voulait pas et ne le ferrait pas de toute façon. Julien avait pris la décision de ne jamais se marier à cause des mauvaises expériences qu’il avait eues par le passé. La majorité de la gente féminine ne voyait en lui qu’un porte-feuille, qu’un moyen d’accéder au grand monde grâce a son nom de famille et ses origines nobles. Ses parents lui avaient bien fait comprendre qu’en portant le nom de Debellay il se devait de se comportait comme un homme respectable, Julien lui voulait simplement être comme tout le monde.

Plus il y réfléchissait plus le jeune homme pensait à fuir et même si cela devait faire de la peine a ses parents. Il allait justement se lever quand on frappa à la porte.

-Entrez mère.

Une jeune femme blonde franchit alors les portes. Milana DeBellay était une femme magnifique, grande, blonde aux yeux bleus, on pouvait voir ses origines italiennes grâce à sa peau légèrement mate. En plus d’être une belle femme Milana était aussi la personne la plus douce et tendre que Julien connaissait, jamais il ne l’avait vue se fâcher, jamais elle n’avait levé la voix sur aucun de ses enfants, elle était une mère parfaite tout simplement. Avec une extrême douceur elle vint se placer au côté de son fils, elle posa sur lui ce regard, celui qui voulait dire qu’elle comprenait son sentiment, qu’elle avait lu en lui comme dans un livre. Sa mère lui sourit et Julien sentit son cœur fondre, jamais il ne pourrait s’enfuir, jamais il ne pourrait faire de la peine a cette femme qui lui avait t’en donné.

-Je sais mon fils, je suis passait par ce chemin moi aussi, mais sache quand même une chose avoir épousé ton père et la chose qui m’as rendue le plus heureuse après vous avoir eu toi et t’as petite sœur.

Milana déposa un baisé sur le front de son fils avant de se lever.

-Il est l’heure maintenant prépare toi s’il te plait.

Sa mère le laissa seul dans sa chambre, il hésita encore un peu avant d’enfiler son costume pour la soirée.

……………

La soirée battait son plein quand il entendit le bruit d’une cuillère sur un verre, une boule se forma dans son estomac l’heure était donc venue, il allait enfin rencontrer celle qui allait partager sa vie pour toujours, celle qui allait ce cette manière entrée dans le grand monde. Julien tenta de mettre de côté son hostilité envers cette inconnue pendant que son père réciter son toast. Le garçon l’avait déjà entendue des dizaines de fois pendant qu’il répéter dans son bureau. À l’instant même que son père eu finit de prononcer son discours les portes de la salle de bal s’ouvrit, la foule s’écarta laissant passé un petit groupe de personne. Il observa les deux personne qui se trouver en tête du cortège surement le père et la mère de la jeune fille. Julien préféra tourner la tête et observer le visage de sa mère, se disant que peut-être il aurait de la chance comme elle, qu’avec cette inconnue il trouverait sa moitié.

Les invités retournèrent a la fête ne faisant plus attention aux deux familles qui maintenant discuté, Julien n’avait toujours pas bougé de son coin, il ne voulait pas s’avancer, il ne voulait pas que ses parents voient sa déception sur son visage si jamais….. Une voix le fit sursauter et il se retourna pour voir l’inconnue qui venait de lui parler. Il ne put rien dire trop époustoufler par la beauté de la demoiselle qui se présentait devant lui.

-Enchanté Julien je suis Luxiana.

Rien, aucune parole ne voulut sortir de sa bouche, il ne put faire qu’un geste tendre la main dans une invitation à danser qu’elle accepta.



Comme quoi la vie se répète parfois.

Tout comme lui avait dit sa mère des années plutôt Julien se rendit compte assez vite que Luxiana était la femme qui lui fallait, il était heureux de l’avoir rencontré puis part la suite épousée. Même le faite qu’elle soit sorcière avait certain avantage surtout dans l’entretien de leur nouvelle demeure, les parents de Julien leur avaient offert juste après leur noce ce qu’ils on qualifié de petit domicile, dans le langage normal un château d’environ une vingtaine de pièces. Les deux époux n’avaient pas su quoi dire en voyant la demeure, Luxiana se sentait même genêt d’un telle attention de la part de ses beau parent, mais Julien lui avait expliqué qu’il était de coutume dans leur famille d’offrir une maison ou château au nouveau marié et que de toute façon vue l’argent dont disposé ses parents cela n’avait pas était grand-chose pour eux.

Tout ce passé donc à merveille pour les deux époux qui vivait en parfaite harmonie dans leur demeure prés de Paris, tous sauf une chose. Julien n’avait pas voulu en parlait a son épouse ne voulant pas lui faire de peine, mais il ne se sentait pas entier et même si son épouse le combler de toutes les façons possible il se sentait vide. Il lui manquait une chose, mais Julien n‘arrivait pas à mettre le doigt dessus.

Il pénétra dans la chambre, quand il vit Luxiana accroupie sur le sol, une odeur de vomi emplissait ses poumons et il dut retenir sa respiration pour ne pas être malade à son tour. Complètement paniqué il se jeta a terre à côté de la femme qu’il aimait plus que tout.

-Chérie ça va ?

Non bien évident que ça n’allait pas elle venait d’être malade, pourtant elle le regarda avec un grand sourire sur les lèvres. D’un coup de baguette magique elle fit disparaître les taches et l’odeur.

-Tout vas bien mon amour, juste une nausé matinale tout à fait normale dans mon état.
-Ton état ? Je ne comprends pas explique moi avant que je ne devienne fou.

Comme seule réponse elle saisit la main de son époux pour lui place sur son ventre. À ce moment là Julien compris et le vide qu’il avait au fond de lui disparut.

…..

Neuf mois plus tard naissait l’ainé de la famille DeBellay Jonathan Ludovic, Julien n’arrivait même pas a dire de qu’elle façon sa vie était merveilleuse il avait maintenant tout ce qu’il désirer. Pourtant la vie n’en avait pas fini avec lui et quelques années plus tard sa femme donna naissance a des jumeaux encore deux garçons le premier Jean Andrien et le second Gabriel Pierre, l’ainé Jonathan était déjà âgé de 6 ans quand ses deux frères virent le jour pour la première fois et il fut heureux de découvrir que maintenant il avait un rôle à jouer dans cette famille. La famille se pensait au complet quand leur mère lors d’un diner leur annonça qu’il y allait encore y avoir un bébé dans cette maison. Tout le monde était heureux de cette nouvelle espérant secrètement que ce serait cette fois une fille. Et non le sort en décida autrement et Louis Thomas DeBellay vu le jour le 17 janvier 1988 a Paris comme le reste de la fratrie.


L’enfance est une chose parfois étrange.

Louis était âgé de 11 ans quand il entendit parlait de Poudlard pour la première fois. Sa mère passait des heures a lui parlait de se château magnifique dans lequel elle avait fait ses études en sorcellerie. Il s’était surpris a rêvé plusieurs fois de recevoir la lettre qui lui ouvrirait les portes de château, mais pas seulement, étant le dernier de la famille il voulait être différent des trois autres, il voulait accomplir quelque chose de spécial pour sa mère qui elle était sorcière. Elle n’avait jamais rien dit au sujet que ses fils n’est pas de pouvoir magique et Louis savait très bien qu’elle l’est aimaient malgré ça, mais il savait aussi que dans le cœur de sa mère la magie avait une place importante et qu’elle aurait aimé qu’au moins un de ses fils hérite de ses pouvoirs magiques.

Il attendue pendant des jours et des jours guettant le moindre petit oiseau qui passer dans le parc de la propriété, pourtant jamais il ne vit de chouette et jamais il ne reçut la lettre de Poudlard. Le jour de ses douze ans, le petit Louis pénétra dans la chambre de ses parents, il savait qu’il y trouverait sa mère en train de se préparer pour la petite fête de son fils. Il s’approcha sans faire de bruit, mais il savait au fond de lui qu’elle l’avait déjà entendue.

-Je suis désolée maman.

-De quoi mon cœur ? La jeune femme lui sourit.

-Je ne serais jamais un sorcier, je n’ai pas reçu ma lettre pour Poudlard, j’aurais tellement aimé faire ça pour toi maman.

-Mon cœur que tu sois un sorcier ou non je t’aime de toute mon âme, ne l’oublie jamais. Elle déposa un baiser sur le front de louis avant de reprendre. –efface-moi ce visage triste et sache que même si tu n’es pas sorcier tu ferras de grandes choses dans ce monde.


Il est l’heure de faire de grande chose.



Louis grandit comme un jeune homme normal, aimant sortir avec ses amis et les filles, il avait une légère préférence pour le cinéma que pour la grande musique ce que son père avait tendance à ne pas comprendre. Louis avait tenté de lui expliqué qu’il n’était pas de la même époque et que les jeunes de maintenant aimer les choses qui bougent et non pas les vieux disques poussiéreux. Pourtant malgré son penchant pour la fête et les sorties Louis était un très bon élève et il réussit son bac avec une mention bien pour le plus grand plaisir de sa mère. Il était l’heure pour lui de décider comment il allait prendre part au monde qui l’entourait, Louis avait eu du mal à se décider, son frère ainé faisait des études de médecine pendant que les jumeaux d’un commun accord c’était lancer dans la politique chose que Louis avait du mal à comprendre. Il avait tourné et retourner ses idées dans sa tête se souvenaient parfaitement bien des paroles que lui avaient dit sa mère le jour de ses douze ans. –Tu ferras de grandes choses dans se monde. Et c’est se qu’il comptait faire voila pourquoi avec une mine décider il alla voir ses parents.

-Je vais devenir avocat.

Ses parents se retournèrent vers lui un sourire aux lèvres.

-Avocat tu es sûr mon fils ?

-Laisse le tranquille Julien, je sais que c’est fait pour toi mon cœur et je suis fière de toi.

Deux semaines plus tard, il était inscrit dans la meilleure université de Paris et commençait sa formation d’avocat.


La vie n’est-elle pas un éternel recommencement.

L’âge de 21 ans pour un garçon normal cet âge n’est rien de plus qu’un chiffre, mais pas pour Louis. Il connaît parfaitement les traditions de sa famille et la première consiste à épouser une riche héritière étrangère, comme son père la fait avec sa mère et ainsi de suite. Le jumeau avait eu de la chance le premier était tombé amoureuse d’une héritière espagnole très belle avec de grands cheveux bruns et une silhouette très fine quant au second il avait épousé une italienne cousine très éloignée de leur mère. Louis ne savait pas encore sur qui se mariage arranger allait tomber et comme son père des années avant il ne voulait pas de se mariage idiot, il aimait trop sortir avec des filles pour vouloir se caser avec la première venue. Pourtant lors d’un voyage a Londres sont père lui annonça qu’il était temps de lui trouver une fiancée.

Une soirée était prévue ce jour-là a l’ambassade de Bulgarie, son père se rejouait d’avance de cette soirée alors que Louis pas du tout, il s’imaginait trop de grosses bonnes femmes en train de manger des choses immondes. Cette idée lui donna aussitôt la nausée. Pourtant il dû se résoudre a y allait.

…….

Le moins que l’ont puisse dire c’est que les Bulgares savaient faire une fête, si on pouvait l’appeler comme ça. Les petits plats avaient étaient mis dans les grands et chaque invité portait fièrement les armoiries de sa famille comme si cela avait était une carte de visite avec le nom d’une célébrité marquer dessus. Louis se sentait bizarrement mal a l’aise dans ce genre de soirée, pourtant il en avait l’habitude chaque semaine ses parents organisé ce genre de soirée mondaine. Il saisit une coupe de champagne sur un plateau portait par un serveur et observa les gens qui rigolait, racontait la dernière anecdote ou un ragot croustillant sur un voisin riche. Louis quitta la pièce, il avait besoin d’air se sentant légèrement à l’étroit dans cet attroupement de gens. Il se dirigea vers le balcon le plus proche pensant qu’il allait enfin trouver un peut de tranquillité, mais manque de chance pour lui la place était déjà occuper part une jolie jeune fille blonde. Elle se tourna pour voir qui venait de pénétrer dans sa bulle quand il vit les armoiries qui trônaient fièrement sur sa veste juste au niveau de sa poitrine.

- Excusez moi je ne voulais en rien vous dérangez.

Il lui sourit de façon plutôt charmeuse et s’avance pour se retrouver à sa hauteur. La jeune femme était vraiment splendide, avec ses longs cheveux blonds qui lui tombaient au milieu du dos, sa peau légèrement plus blanche que la sienne, son visage n’avait aucune imperfection, quant à ses yeux ils finirent de faire fondre le cœur du jeune homme, il savait maintenant ce qu’avait ressentie son père au moment où il avait vue sa mère pour la première fois.

-Je me nomme Louis Thomas DeBellay. Il saisit la main de la jeune femme et y déposa un baiser courtois.

La jeune femme sembla quelque peu déstabiliser part le numéro de charme de Louis pourtant elle fit comme de rien était.

-Enchanté Louis, je suis Béatrix Arabelle Thorne.

Ce pouvait-il que la vie lui sourisse a ce point. Il tenta sa chance avec une dernière question.

-Je vois que vous portez des armoiries.

La Béatrix expliqua brièvement les origines des symboles et il comprit. Louis saisit la main de la jeune femme et traversa la salle de bal.

-Père, mère, oui en public Louis devait toujours utilisé ses adjectifs stupides. –Je vous présente Béatrix Arabella Thorne.

Sans dire un mot de plus ses parents comprirent que leur fils cadet avait enfin trouvait celle qui partagerait sa vie. …..

Quelque semaine plus tard, les deux jeunes gens étaient fiancés. Louis finit par apprendre que sa future femme était elle aussi une sorcière et qu’ils allaient devoir attendre la fin de ses études pour ce marié. C’est donc avec beaucoup de souffrance qu’il laissa repartir sa belle dans son université magique.


Comme quoi la vie nous prépare toujours des surprises.

Voila maintenant 2 ans que Béatrix et Louis étaient fiancés pourtant le jeune homme sentait que leur relation n’était pas au beau fixe, comment aurait-elle pu l’être de toute façon. Lui était là dans son université à passer son diplôme d’avocat et elle était dans la sienne. Et puis il n’y avait pas que ça, Louis avait senti au fur et à mesure de ces lettres que sa belle s’éloigner de lui pour se rapprocher d’un autre. Ezecheil se nom lui donner envie de vomir, cet idiot était la bas lui aussi avec ses pouvoirs magiques ultras cool à faire de l’œil a Béatrix, même si cette dernière lui avait juré qu’il n’y avait rien entre elle et se Eze. Jamais il n’avait regretté de ne pas avoir de pouvoir magique, Louis avait toujours était satisfait de sa condition de moldu comme lui avait dit ça mère. Mais pour une fois dans sa vie il aurait aimé pouvoir faire un vœu ou alors deux, le première d’avoir des pouvoirs et le deuxième que ce maudit Ezechiel n’est jamais vue le monde. Malheureusement pour lui rien de tout cela n’était possible. Enfin il nu pas vraiment le temps de s’apitoyer sur son sort, car ses amis arrivaient pour sa sortie de camping.

(Voir le RP pour la suite)


Une nouvelle vie commence.

Louis ouvrit les yeux totalement perdus, il n’avait plus vraiment de souvenir sur ce qui venait de se passer. Il chercha des yeux un visage familier pour tomber nez à nez avec sa mère, la pauvre femme s’était endormi sur le bord de son lit la tête poser sur ses bras, elle tenait la main de Louis fermement.

-Maman.

-Mon cœur enfin. La voix de sa mère était pleine de douceur pourtant il arriva parfaitement a entendre les intonations de peur. –J’ai cru que….. Elle se mit à pleurer, jamais Louis n’avait vu sa mère pleurer et cette scène lui déchira le cœur.

-Maman non ne pleure pas ce n’est rien regarde je suis presque guérie, c’est bizarre même, je ne me souviens pas de grand-chose à part des yeux jaunes qui sauté sur moi et de l’immense douleur dans mon bras et la je n’ai presque plus rien.

-Je sais mon cœur, il c’est disons passé une chose particulière l’animal qui t’as attaqué n’était pas un animal, c’était un …Elle ne put continuer Louis allait la pousser a finir sa phrase quand une voix masculine prit le relai.

-Tu t’es fait mordre par un Lycan mon fils.

Heureusement qu’il était allongé sinon Louis serait tombé par terre. Un Lycan ! Mais lui alors il allait devenir un L… Comme si son père avait lu dans ses pensées, il répondit à ses questions.

-Oui mon fils tu vas devenir l’un deux, dans à peine cinq jours c’est la pleine lune et tu vivras alors t’as première transformation. Il y a une autre chose qui va changer pour toi, j’ai dû te retirer de l’université et je t’ai inscrit dans la même que t’as fiancée tu vas pouvoir apprendre la bas a contrôlé t’as nouvelle nature et tout le reste.


Comme son père lui avait dit cinq jours après la sortie de l’hôpital Louis vécut sa première transformation, un moment abominable, la douleur avait été t’elle qu’elle lui avait fait perdre connaissance, il n’avait même plus de souvenir sur ce qu’il avait fait cette nuit-là. Au matin quand il se réveilla dans la cave de ses parents sa mère l’attendait sur le pas de la porte des vêtements propre à la main. Louis n’osa même pas lever les yeux sur sa mère, il prit les vêtements et commença à s’habiller.

-Mon cœur n’est pas honte de ce que tu es devenue, tu restes mon fils et je dois dire que tu es le plus beau loup brun que j’ai vu.

Il ne put rien dire, juste se jeter dans les bras de sa mère.

…..


L’heure est venue de régler les comptes et de reconquérir ton cœur.

Il était temps de partir pour sa nouvelle vie. Ses bagages attendaient sur le pas de la porte, Louis jeta un dernier coup d’œil à sa maison tout en jurant intérieurement que la prochaine fois qu’il franchirait cette porte il le ferait avec sa douce Béatrix dans ses bras.