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Jackson “Jake” Overstreet

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Jackson Overstreet
Jackson Overstreet
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MessageSujet: Jackson “Jake” Overstreet Jackson “Jake” Overstreet EmptyMer 14 Mar - 15:36



JACKSON “Jake” OVERSTREET






ÂGE : 37 ans
DATE et LIEU DE NAISSANCE : 27 Décembre 1974, Sydney, Australie
GROUPE : Lycan
MATIERE/METIER : Médicomage
CÉLÉBRITÉ : Patrick Dempsey
CODE RÉGLEMENT : ok by Cyrs'

VOTRE PSEUDO : Exctasy
VOTRE ÂGE : 21 ans
DISPONIBILITÉ : 4/7 jrs
AVIS SUR LE FORUM : Il m'a l'air sympa pour le moment, j'aime le design et l'ambiance a l'air au beau fixe.



Orientation sexuelle :
Hétéro
Bisexuelle
Gay

Statut :
En couple
Célibataire
Compliqué





HISTOIRE

J’ai passé toute ma vie à chercher où était ma place dans ce monde…


Je suis né un surlendemain de Noël et pourtant, je n’avais rien d’un cadeau. L’hôpital magique de Sydney fut l’endroit où je poussais mes premiers cris. Un sorcier de plus foulerait cette planète, du moins c’est ce que tout le monde croyait. J’ai grandi dans une petite ville de province non loin de Sydney avec mes trois sœurs et mes parents. Mes parents, tout deux sorciers avaient eu deux filles avant moi et ils en eurent une dernière juste après moi. J’aurais tant aimé que ce soit un petit frère. Je me suis souvent senti seul parmi toutes ses filles. Les deux grandes m’ont carrément rendu la vie impossible, jusqu’à l’arrivée de la petite dernière. L’attention s’est reportée sur elle, la mienne aussi d’ailleurs. Elle est la sœur dont je suis le plus proche, peut-être parce que contrairement aux deux autres plus âgées que moi, il a fallu que je la protège. J’avais une place importante avec elle, je n’étais pas que son stupide frère qui ne comprend rien aux filles. Je ne me suis jamais senti aussi bien que lorsque mes deux premières sœurs ont rejoint Poudlard. Non pas que je ne les aime pas mais cela avait au moins l’avantage de me procurer un peu de calme. J’étais très heureux de les retrouver pour les vacances tout de même. Mon père a toujours essayé de prendre soin de moi, il m’a appris à jouer au baseball par exemple. Il voyait bien qu’il m’arrivait d’étouffer dans ce monde féminin et que j’avais besoin de passer du temps avec lui. Il y avait un certain équilibre à la maison. Du moins, si l’on peut parler d’équilibre dans une famille qui compte 4 filles pour 2 garçons… C’était toujours le boxon à table, surtout grâce à la petite dernière qui n’en finissait pas de faire le pitre.

Les années passaient et je voyais l’inquiétude grandir chez mes parents. J’avais 10 ans lorsque j’ai entendu pour la première fois, le mot ‘cracmol’. Je l’ai surpris dans une conversation et comme cela avait l’air parfaitement grave, j’ai cherché la définition dans le dictionnaire magique. J’ai compris qu’ils parlaient de moi. Je n’ai rien dis à personne.
Un matin où je m’étais levé de bonne heure, je prenais le petit déjeuner avec maman. Nous discutions de tout et de rien, de l’école et de mon amoureuse, lorsque la brique de lait s’est mis en lévitation devant mes yeux et m’a servit un verre. Ma mère n’en manquant rien, son regard s’écarquilla. « C’est toi qui fait ça Jake ?! Je n’ai rien fait moi ! » Je paniquais, ne comprenant pas. Maman souriait, jusqu’au oreilles. La brique fut reposée sur la table. « Je.. euh.. je sais pas.. j’ai.. » « Rien fait. » L’ainée de mes sœurs venait de me couper la parole. « C’est moi qui ai fait ça maman, Jake n’a pas de pouvoir, c’est un cracmol. » Elle quitta la pièce comme elle y avait fait irruption. « Il serait peut-être temps de le lui dire, il psychote depuis des mois. » lâcha-t-elle de loin en montant à la salle de bain. J’avais baissé la tête, je ne savais plus quoi dire, quoi faire. Elle avait raison, j’étais un cracmol et je le savais depuis quelques temps maintenant, j’étais mort de trouille à l’idée d’être la honte de la famille. « Jake, certains sorciers ne découvrent leurs pouvoirs que très tard… » « J’ai pas de pouvoir Maman… J’ai onze ans dans une semaine et je ne recevrais pas de lettre pour Poudlard. » Avais-je dit avant de quitter la table en silence, abattu. Elle avait été si heureuse en croyant que j’avais lever la brique de lait.
Ce jour là, j’avais passé toute la journée dans la forêt derrière la maison. J’étais monté dans mon arbre pour réfléchir.
J’en voulais un peu à mon ainée même si dans un sens elle venait de débloquer une situation que je croyais perdue. Elle s’excusa, me retrouvant dans mon arbre, pour la manière et me soutint qu’il fallait que j’en discute avec les parents. Papa travaillait et j’attendis d’être sûr qu’il soit rentré pour rentrer à la maison. Il était hors de question que je fasse mon petit discours deux fois de suite. Mes sœurs ainées me soutenaient, me poussant vers le salon où mes parents prenaient le thé. J’y allais à reculons je dois l’avouer. Ma petite sœur vint s’accrocher à ma jambe et me fit un large sourire. C’est ce qui me décida enfin. J’entrais dans le salon et restais sur le pas de la porte pour faire entendre ma voix. Mes parents se tournèrent vers moi et m’écoutèrent.

« Je suis un cracmol, je n’ai pas de pouvoir et je n’en aurais pas, je le sens. Je suis désolé d’être si peu digne de la famille. Je suis désolé de vous décevoir. » C’était dit. Je ne savais plus où me mettre, j’entortillais mes doigts devant moi, je bougeais mes jambes qui me semblaient engourdies. J’attendais. Mes parents sourirent tout deux. D’un large sourire. Mon père se leva et vint me prendre dans ses bras. Je m’accrochais à son cou et jetais un dernier regard à mes sœurs qui surveillaient dans le couloir. Il retourna à sa place et m’installa sur ses genoux. « Tu ne nous déçois pas du tout Jake. Tu es un fabuleux petit garçon, tu n’as pas de pouvoir, et alors ? Tu es notre fils Jake et ce quoi que la vie te réserve. » Papa avait toujours su être rassurant. Il était grand, fort, du moins je me sentait en sécurité dans ses bras lorsque j’avais 10 ans. Il parlait toujours calmement et sa voix avait la douce manie de m’endormir lorsque j’étais plus jeune encore. Maman souriait aussi et voulant briser le moment d’émotion, tel qu’elle les détestait, elle ajouta : « Regarde toi, pas étonnant que tu n’ais pas de pouvoir, tu es bien trop beau pour en avoir besoin. »
Sur ce j’avais explosé de rire et mon père m’avait ébouriffé les cheveux. Je m’en rappel comme si c’était hier. C’était tendre.

Sans trop de surprise, ma petite sœur découvrit ses pouvoirs lorsqu’elle eut 8 ans. J’étais bel et bien le seul de cette famille à ne pas en être. Je m’y étais fait. Du moins, je n’y pensais plus trop.

L’été 1986, l’année de mes douze ans, mes parents invitèrent nos cousins anglais comme chaque été. Je n’avais jamais aimé mes cousins. Ils étaient suffisants. Venant de la banlieue Londonienne et entretenant leur statut de sang pur, leur air hautain me donnait envie de vomir. Je ne devais pas le dire bien entendu. Ce jour là, j’avais fait l’effort d’emmener un de mes cousins dans la forêt. Je lui montrais mon arbre. J’adorais monter aux arbres. Lui ne trouva rien de mieux à faire que d’affirmer qu’à défaut d’avoir des pouvoirs, je pourrais devenir bûcheron. Je ne savais pas quoi répondre. Il venait de m’envoyer la pire chose qu’il pouvait m’envoyer. Les insultes continuèrent ainsi sans que je ne relève, trop énervé pour sortir quoi que ce soit de censé. Je bondis de mon arbre et lui sautais dessus avant de le ruer de coups sur le sol. J’avais rien trouvé de mieux. Il se défit de mon étreinte et s’enfuit comme un froussard, sortant de la forêt. Je l’observais partir, ne pouvant réprimer un sourire satisfait. « Gros nul.. »
Un craquement attira mon attention derrière moi. Je me retournais, cherchant des yeux, pas rassuré. Plus rien, aucun bruit. Je soufflais légèrement et jetais mon pied dans un caillou sur le sol. C’est alors qu’il me bondit dessus. C’était un loup brun, immense. Je n’en avais jamais vu de si gros. Je m’agrippais à son poil tandis qu’il venait de me plaquer contre le sol et me mit à hurler en voyant sa gueule entrouverte s’avancer vers moi. J’eus un réflexe inespéré, je me décalais sur le côté tandis que sa gueule fondait sur moi. Il mordit fermement mon épaule gauche et j’hurlais de douleur, les larmes roulant sur mes joues. C’était affreusement douloureux. Ce monstre me dévorait l’épaule. La voix de mon père retentit derrière le loup qui se tourna légèrement. J’eu à peine le temps de voir mon père accourir avec sa baguette en main, suivi de ma mère. Je m’étais évanoui.
Mon réveil fut à l’hôpital qui m’avait vu naitre et mon père fit comprendre que j’allais renaitre encore une fois. Il avait raison. Le mois qui suivi, lorsque la lune fut pleine dans le cycle lunaire, je subi ma première transformation.

Lorsque j’eu 15 ans, j’entrais au lycée. Hors de question que je sois un inculte, ermite de la société. La fameuse remarque de ma mère subit quelques variantes tandis que je grandissais. Maintenant j’avais le droit à « avec une gueule d’amour comme la tienne, c’aurait été injuste que tu sois doté de pouvoir. » ce genre de phrase. Toujours la même idée de base mais dans un langage plus châtié. J’étais un adolescent. J’avais grandi et mon corps n’était plus celui du petit garçon. Mes épaules s’étaient carrément élargies depuis ma transformation en lycan et j’étais bien plus musclé que les garçons de mon âge, j’avais une barbe naissante, des cheveux de jais et j’avais la particularité de sourire avec mes yeux bleus. Ce qui me valu le surnom de « gueule d’amour » dans la famille. Je ressemblais beaucoup à mon père en vérité.
J’étais plutôt doué en cours et je ne parlais jamais du monde magique car ceux que je fréquentais n’en avaient pas forcément connaissance. Je plaisais. Ah ça oui je plaisais. C’était même de la folie. J’étais le petit chouchou de toutes les filles. J’eus quelques petites amies avec qui je fus contraint de rompre. Je voulais avoir une petite amie à qui je pourrais avouer ma nature et qui pourrait rencontrer mes parents dans le monde magique. Aucune de celle là ne furent la bonne. Je ne trouvais le courage d’avouer tout cela avec aucune d’entre elles. Je préférais rompre avant que cela ne devienne trop sérieux. Je trouvais toujours une excuse pour ne pas leur dire où je vivais et plutôt aller chez elles. Et j’évitais de sortir les soirs de pleine lune. Ces soirs là, mon père s’assurait que j’étais bien rentré des cours et je passais la nuit dans la forêt. Du moins, ce fut le cas vers mes 16 ans, lorsque j’eu gagné un contrôle relatif sur le loup en moi.
Avant cela, mon père faisait nuit blanche. J’étais attaché dans un périmètre assez large pour que je puisse quand même bouger, et il tentait de me parler de me résonner. J’avais pour but d’apprendre à me contenir sous ma forme lycanthropique. Il m’aida à travailler les différentes formes de transformation. Mes préférées restant sans aucun doute le grand loup et l’homme-loup. Je délaissais rapidement les autres au profit de celles là.

Cette transition de l’homme au lycan fut à peu près aussi difficile que celle du sorcier au cracmol, socialement parlant du moins. Mais par chance, j’avais une famille qui, fidèle à elle-même, m’accepta comme j’étais. « Quoi que la vie te réserve… »

Je fis des études de médecine dans une université moldue lorsque je fus en âge d’y entrer. Là-bas, ce fut comme au lycée, j’étais moi-même jusqu’à un certain stade. Ma nature lycanthropique devait rester secrète et mon origine sorcière également. Ca ne m’empêchait pas d’être parmi les meilleurs de ma promotion et d’avoir une vie sociale et sexuelle bien rempli. Je vivais sur le campus, 25 jours sur 31 environ, rentrant chez moi pour le cycle lunaire. Ma chambre vit plus de filles passer que n’en comptait ma promo de médecine. Ma gueule d’amour faisait des ravages. Et j’étais bien élevé pour ne rien gâcher. Grandir avec 3 sœurs m’avait appris à les respecter, à en prendre soin et je les comprenais plus que la moyenne des garçons. Ma gueule d’amour n’avait plus qu’à terminer le travail.
J’avais 24 ans et j’entrais en première année d’internat lorsque je rencontrais Rachelle. Elle fut la seule à qui je me sentis un jour de tout dire et elle m’épousa 4 ans plus tard.
Ma spécialité ? La neuro-chirurgie. Mais grâce à ma mère, médicomage, j’ai pu acquérir pas mal de connaissance sur la médecine magique, celle que ne nécessite aucun pouvoir du moins. J’ai pourtant préféré rester vivre dans le monde moldu avec ma femme. Jusqu’à ce que ma vie subisse un nouveau tournant. Ma femme fut tuée, dans un accident de voiture, un carambolage. Elle avait d’importantes blessures lorsqu’elle fut admise à l’hôpital en urgence et ils n’ont rien pu faire. J’étais exclu d’office de la salle d’opération. On ne soigne pas sa famille proche. J’avais 33 ans.
A l’enterrement, j’ai appris que ma femme, m’avait trompée. Avec mon meilleur ami, lui aussi en pleure à l’enterrement. Je n’ai pas cessé de pleurer sa perte pour autant. J’aurais dû la détester. Je la détestais en réalité. Mais elle était morte. Et je n’avais plus que mes yeux pour pleurer et mon cœur pour saigner.

J’ai choisi de changer de vie, quitter l’hôpital qui l’avait vu mourir pour rejoindre un tout autre, moins triste. Ma candidature fut très appréciée sur le campus. J’y suis médicomage depuis 4 ans. Bien sûr je n’ai toujours pas de pouvoir, je laisse donc cela à mes confrères, mais je m’occupe de tout ceux pour qui la magie ne peut rien.

Je suis quelqu’un d’assez stable et d’assez sage. L’âge fait que j’ai un contrôle assez étendu sur ma nature lycanthropique à présent et mon métier me fascine. Je sauve des vies. J’ai enfin trouvé ma place dans ce monde, du moins je crois. Je suis dans l’entre deux finalement, je n’ai pas de pouvoir mais le monde magique m’accueille d’une certaine manière. Mes sœurs me tapent toujours sur le système surtout depuis la mort de Rachelle. Elles m’ont beaucoup soutenue et ne veulent pas me laisser tranquille maintenant. Elles voient en chacune de mes conquêtes éphémères, un besoin de tendresse et d’amour incommensurable. Elles n’ont pas tout à fait tord, mais j’aimerais autant ne pas avoir à m’expliquer chaque fois que j’amène une femme pour diner.
Je suis toujours surnommé « gueule d’amour » on ne se refait pas. Je suis le joli cœur des infirmières alors que j’évite particulièrement les conquêtes au travail. Je n’ai pas eu d’histoire sérieuse depuis Rachelle, c’est compliqué. J’ai de belles mains, pour un chirurgien en même temps…
Ma mère vous dirait que je suis le type le plus parfait pour une femme, que la terre ait portée. Elle ne sait pas tout de moi, j’ai aussi d’énormes défauts. Je pique bien souvent avec ma barbe de 3 jours parfaitement entretenue, je délaisse ma petite amie 5 jours par mois, si seulement ça tombait en même temps que ses règles… Je suis arrogant, joueur, charmeur jusqu’à l’excès. On me dit irrésistiblement adorable, ce qui croyait moi est un défaut parfois. Je déteste perdre un patient, ce qui arrive relativement souvent en chirurgie et alors je deviens absolument monstrueux, d’une humeur assassine et le moral dans les godaces. Je bois du whisky, je ne fume pas. Je danse très mal si ce n’est le slow romantique. J’aime le baseball, j’y joue dès que je le peux. J’ai un gout prononcé pour les petits bouts de femmes. J’aime manger et aller au cinéma. Je déteste le nutella et le café. Je suis fidèle en amour et loyal en amitié.






QUARTIER LIBRE


La douleur persiste...
Je n’avais jamais eu aussi mal de toute ma vie. Mon père m’avait prévenu. Le mois où je me fis mordre et en attendant la première transformation, nous avions passé des heures à étudier le processus et à voir des spécialistes pour apprendre à gérer au mieux la situation lorsqu’elle se présenterait à nous. Je n’étais pas seul, ce qui est fort heureux pour un lycan vu l’ampleur des dégât qu’une transformation peu engendrer. J’étais mort de peur. Le processus serait douloureux et dangereux, que ce soit pour mon père ou pour moi. Ca n’était pas une chose à prendre à la légère. Et j’avais 12 ans. Je prenais tout à la légère. Mon père m’accompagna la première fois. Nous étions dans la grange et il s’était positionné en hauteur sur une espèce d’esplanade où je n’aurais jamais accès, que ce soit sous ma forme humaine ou sous ma forme lycanthropique. Il était en sécurité me disait-il. Je ne devais pas avoir peur. La porte de la grange était ouverte et je pouvais donc en sortir une fois en loup. Ma mère et mes sœurs avaient été envoyées chez des voisins pour être sûr que personne ne croise mon chemin. Il y avait toujours un risque. J’allais surement me diriger vers la forêt et une rencontre malheureuse n’était pas à exclure. Mais nous avions pris les quelques précautions que nous pouvions prendre.
J’étais debout au beau milieu de la grange à attendre que la nuit tombe et que mon corps se modifie. Mon cœur battait à tout rompre malgré les paroles rassurantes de mon père. Il avait un fusil à tranquilisant au cas où sur l’esplanade. Lorsque les premiers reflets de la pleine lune s’immiscèrent à travers les fenêtres hautes de la grange, je jetais un dernier regard à mon père, loin d’être rassuré.
Tout commença par un picotement dans la nuque, j’y passais ma main. Puis cela devint douloureux et l’engourdissement laissa place à un véritable lot de souffrances. Mon corps tout entier se contracta, se cambra dans un fracas de craquera d’os. Mes articulations furent brisées et mes os s’allongèrent. J’hurlais toute la miséricorde du monde tandis que la voix de mon père devenait inaudible. Je tombais sur le sol, me tenant la tête fermement dans mes bras, voulant m’arracher les cheveux, c’était insoutenable, j’aurais préféré mourir. Mes hurlements prirent quelques minutes plus tard l’aspect d’un grognement rauque et l’homme en moi avait disparu. Je ne reconnaissais plus rien, ni le lieu, ni mon père. Je lui grognais dessus tandis qu’il braquait sur moi son fusil tranquilisant. Mon corps ne souffrait plus. L’engourdissement avait repris ses droits. Je tournais le dos à l’homme qui n’avait plus d’autre identité que celui de proie pour moi et m’enfuies de la grange. Avec hésitation je fis mes premiers pas dans la forêt. La pleine possession de mes mouvements dans ce nouveau corps acquise, mes pattes foulèrent le sol humide de la forêt avec une rapidité incroyable, le vent soufflant dans mes oreilles. Je couru des heures durant, ne voyant pas le temps passer. Je ne rentrais pas de la nuit. Au petit matin, mon père s’aventura dans la forêt, appelant après moi, son fusil toujours en main au cas où. Il me trouva étendu dans la forêt, endormi, nu et en apparence serein. Il me ramassa et me porta jusqu’à la maison.
« J’ai mal… » fut mes seuls mots tandis que j’étais dans ses bras. Il m’installa dans la douche et fit couler de l’eau fraiche sur moi, lavant mon corps de la boue tout en défroissant mes muscles. Je dormais sur place dans la douche. Il me porta dans mon lit et me dit quelques mots.

« Tu as réussi champion... Tu es un loup noir profond aux yeux bleus… Sans surprise. Tu es magnifique. Dors... nous en reparleront demain. » Fit-il sa main posé en caresse sur mon front et dans mes cheveux.

A mon réveil, j’avais toujours affreusement mal partout, courbaturé comme si j’avais courut pendant une semaine sans m’arrêter. J’avais un mal de chien à enfiler ne serait-ce qu’un simple t-shirt. Mon père m’expliqua ce qu’il avait vu, ce que j’avais manqué de moi-même. J’avais terriblement chaud d’après ce qu’il me raconta, lorsqu’il m’a trouvé nu comme un ver dans la forêt. Il me raconta la douche froide et mes souvenirs firent les liens nécessaires.
Les transformations suivantes furent sur le même schéma jusqu’au jour où je me perdis dans un village voisin, terrifiant les villageois. Après ce jour là, il fallu m’attacher dans la grange. Je dû apprendre à garder conscience pendant la transformation et je découvris les différentes transformations.



Dernière édition par Jackson Overstreet le Mer 14 Mar - 20:56, édité 11 fois
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Crystal A. Blackness
Crystal A. Blackness
Côté coeur : Célibataire
Emploi/loisirs : faire du mal
Humeur : Massacrante
Messages : 490

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Un rp ?: Seulement si tu le lances
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MessageSujet: Re: Jackson “Jake” Overstreet Jackson “Jake” Overstreet EmptyMer 14 Mar - 15:46

Bienvenue parmi nous Wink Si tu as des questions n’hésite pas Very Happy
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Rachel De Luca
Rachel De Luca
Age : 35
Côté coeur : Célibataire
Emploi/loisirs : Sport, chant, danse et caligraphie
Humeur : Lunatique
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Un rp ?: Disponible
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MessageSujet: Re: Jackson “Jake” Overstreet Jackson “Jake” Overstreet EmptyMer 14 Mar - 15:55

Dr Maaaaaamooooouuuuuuuuuur *-* ! Re-bienvenue ici en tout cas ! Very Happy
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MessageSujet: Re: Jackson “Jake” Overstreet Jackson “Jake” Overstreet EmptyMer 14 Mar - 16:00

Re-bienvenue Jack !
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Nathaniel S. Montgomery
Nathaniel S. Montgomery
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MessageSujet: Re: Jackson “Jake” Overstreet Jackson “Jake” Overstreet EmptyMer 14 Mar - 16:03

Bienvenue parmis nous =)
Bonne chance pour ta fiche Wink
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Sasha E. Burton
Sasha E. Burton
Age : 29
Côté coeur : célibataire
Humeur : Triste
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MessageSujet: Re: Jackson “Jake” Overstreet Jackson “Jake” Overstreet EmptyMer 14 Mar - 16:31

Welcome ! Et bonne chance pour ta fiche. En tout cas, très bon choix d'avatar Panda
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Jackson Overstreet
Jackson Overstreet
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MessageSujet: Re: Jackson “Jake” Overstreet Jackson “Jake” Overstreet EmptyMer 14 Mar - 16:37

Merci à tous Smile
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Irina P. Roumanov
Irina P. Roumanov
Côté coeur : ça ne te regarde pas
Emploi/loisirs : Etudiante et vampire à plein temps!
Humeur : Je te le demande moi??
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Un rp ?: Overbooké
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MessageSujet: Re: Jackson “Jake” Overstreet Jackson “Jake” Overstreet EmptyMer 14 Mar - 16:48

Welcommmmmmmmeeee Jackson “Jake” Overstreet 324581347
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Charlie A. Robbins
Charlie A. Robbins
Age : 27
Messages : 274

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Un rp ?: Overbooké
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MessageSujet: Re: Jackson “Jake” Overstreet Jackson “Jake” Overstreet EmptyMer 14 Mar - 17:46

Bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche ! Jackson “Jake” Overstreet 2953299389
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Jackson Overstreet
Jackson Overstreet
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MessageSujet: Re: Jackson “Jake” Overstreet Jackson “Jake” Overstreet EmptyMer 14 Mar - 18:09

merci vous deux
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Ezechiel C. Morgan
Ezechiel C. Morgan
Age : 34
Côté coeur : Amoureux/en couple
Messages : 1099

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Un rp ?: Seulement si tu le lances
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MessageSujet: Re: Jackson “Jake” Overstreet Jackson “Jake” Overstreet EmptyMer 14 Mar - 18:10

Bienvenue même si je te déteste avec ton avatar xD Non sérieux, welcome et bon courage pour ta fiche.
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Jackson Overstreet
Jackson Overstreet
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MessageSujet: Re: Jackson “Jake” Overstreet Jackson “Jake” Overstreet EmptyMer 14 Mar - 21:08

J'ai fini Smile
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Crystal A. Blackness
Crystal A. Blackness
Côté coeur : Célibataire
Emploi/loisirs : faire du mal
Humeur : Massacrante
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MessageSujet: Re: Jackson “Jake” Overstreet Jackson “Jake” Overstreet EmptyMer 14 Mar - 21:10

Je te valide donc Wink au passage t'as fiche est superbe félicitation. N'oublie pas de poster t'as fiche de lien de Rp et de recenser ton avatar. Bon jeu a toi Very Happy

Ps je veux un lien de la mort qui tue Jackson “Jake” Overstreet 2589772648
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