le chemin vers la raison est souvent long et parsemer d'embûches...c'est vrai,la vie n'est pas facile ici bas.il suffit de regarder autour de soi,de se plonger dans ses souvenirs pour comprendre que la vie en rose n'est qu'un rêve ephemere mort a nos levres.mais il y a toujours l'espoir,parfois il suffit de rencontrer une personne,d'échanger un regard,d'accrocher un sourire a nos lèvres et alors la,le ciel devient bleu et limpide c'est ainsi qu'il faut fonctionner car de nos vie c'est nous qui devons avancer,faut pas attendre derrière quelqu'un parce que on est jamais sur qu'il réponde " hey!t'inquiète pas je suis la je vais t'aider".tu as juste a anticiper tes actes,a réfléchir tes conséquences....oh et puis non!avance! c'est tout, ne parle pas, profite.
Mischa était la, comme les 6 470 818 671 autres personnes sur terre.c'est facile de compter...6 470 818 671, ce n'est qu'un nombres, ce ne sont que des chiffres, mais sur ces personnes combien connaissent leur vie? sur ces personne qui peut dire avec exactitude a quel degré de bonheur elle sont arriver sur l'échelle de 1 a 10? personne parce que au bout du compte on est toujours seul....seul sur 6 470 818 671 d'humains.

Mischa marchait,elle ne savait pas trop ou elle aller.comme guider par des pas qui n'était pas les siens,comme envoûter par le vent qui balayer ses traces.Elle s'était lever de bonne heure ce matin la,elle n'était pas aller déjeuner, pas faim.aujourd'hui était un jour significatif pour elle...cela marquer le début de la fin de son ancien monde,celui dans lequel elle avait vécu pendant si longtemps depuis "sa" mort a lui...et la sienne en quelque sorte...c'était il y a deux ans jours pour jours...c'était il y a deux ans qu'elle avait ouvert les yeux.elle avait tout plaquer depuis...ses faux semblants,ses parents et leur mensonges dévastateur et son ancienne vie,elle en avait marre de faire semblant,marre de ne pas être celle qu'elle aurai du etre.et lui était le seul qui lui avait tout donner...le même sang,son frère,son coeur,sa raison...perdu.
et voila que le monde dans lequel avait vécu Mischa s'était écrouler comme un vulgaire château de carte.et maintenant elle se contentait de sourire,de paraître parce que il n'y avait plus que ça a faire et parce que Mischa avait toujours été l'une de ces filles qui avancent sans sourciller et qui chassent leur larme...elle s'était relever et a présent elle riait pour deux,pour elle et pour lui,c'était ce qu'elle lui devait et chaque jours ou elle mettait un pas sur le sol en se levant c'est a lui qu'elle le devait.

Mischa arrangea l'une de ses mèches de cheveux qui lui tomber sur les yeux,il était 12h00,l'apogée du soleil.les rayons solaire faisaient scintillait la chevelure dorée blonde de la jeune fille,et ses yeux bleu azur semblait vouloir retenir sa lumiere.Elle avança dans le parc,son sourire accrocher a ses lèvres boudeuse et sensuelle.elle aimait le soleil,moins que la lune cependant,peut être parce que c'était les deux facette de sa personnalité...pétillante et chaleureuse comme le soleil,excentrique et flamboyante...et mystérieuse romantique et mélancolique comme la lune.elle n'avait jamais réussi a faire la part des choses de toute façon.
la serpentarde s'assit, l’herbe fraîche étaient agréable au touchers, et ses doigts caressait lentement les brin d'herbes qui lui chatouillait la main...hum.c'etait agréable,doux.Elle s'étendit de tout son long sur l'herbe verte,ses cheveux s'éparpillant et jurant avec le vert de l'herbe,le soleil taper sur sa peau de soie telle une poupée de porcelaine confronté a la lumiere.elle ferma les yeux essayant de ne pas penser a la date d'aujourd"Hui...puis elle se rappela une phrase,une citation,qu'elle avait vu dans l'un de ces films moldu que son grand frère adorait tellement et qui ne cesser de répéter....elle la prononça a voix haute comme pour se remémorai le ton de sa voix...

elle n'avait jamais compris les goûts de son frère pour les films moldus, mais il faut dire que après qu'il est atterrit a gryffondor au lieu de serpentard comme leur parents, il avait affiché clairement sa différence sans jamais en être gêné et a présent Mischa se fichait comme lui de ce que l'on pouvait bien penser a son sujet.elle n'avait rien choisit, son apparence s'en était charger.mais finalement personne ne s'intéressait a elle pour ce qu'il y avait en elle, personne n'avait chercher a comprendre ses douleurs, a attraper ses failles...non personne.c'est comme l'histoire des 6 470 818 671 Hommes sur terre...le "1" en dernier est toujours tout seul.