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C'est ainsi que notre guerre commença. [Privé à Mlle. Anne R. Taylor]

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MessageSujet: C'est ainsi que notre guerre commença. [Privé à Mlle. Anne R. Taylor] C'est ainsi que notre guerre commença. [Privé à Mlle. Anne R. Taylor] EmptyLun 12 Sep - 1:31

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VS
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« Deux litres d’arrogance, trois cuillères à table de paranoïa, une cuillère à thé de malice et une pincée de distraction. Remuer vigoureusement le tout avec cruauté et rancune... »



Il y a de ça un an, deux mois, trois semaines et deux jours; Mida se promenait dans le château en rampant les mûrs et en regardant constamment derrière elle par peur d’être suivit. Ce jeune homme, probablement âgé de quinze ans, l’effrayait, c’était le moins qu’on pouvait dire. La jeune sorcière qui avait l’habitude de feuilleté ses livres peu recommandables dans les coins reculés du château, l’avait pourtant aperçu rôdé près d’elle. Le regard fuyant, certes, l’air de rien, mais Mida le savait; il se doutait de quelque chose. Et que lui arriverait-elle si ce sorcier, un peu plus vieux, mais également réparti à Serpentard, l’a dénonçait à la direction de Poudlard ? Serait-elle renvoyer malgré ses treize ans ? Qu’arriverait-il ?

Mida Valérie Biel fut envahie d’une panique incontrôlable. Elle se confia donc à sa très chère meilleure amie, qui ne se gêna en aucune façon de lui répliquer qu’elle était, pour ainsi dire, “complètement folle.” La jeune Biel se sentie alors vexée. Or, cette fois-ci elle le savait, il ne s’agissait pas de ridicules affabulations de sa part. Elle n’avait pas rêvé, ce fou l’a suivait et lui voulait du mal, Mida en avait un pressentiment révélateur.

Le lendemain matin, Mida dut se rendre près des cachots pour un cours de potion. C’est alors qu’en préparant un somnifère relativement performant, elle eut une merveilleuse idée. *S’il prépare vraiment quelque chose, il doit avoir des plans, des choses à cacher... * Mida s’empara d’un échantillon qu’elle mit discrètement dans la tasse de thé de sa cible le soir venu. Ce fut sans surprise qu’elle aperçu le jeune Serpentard se retirer plus rapidement en baillant. Elle le suivit de près, le plus discrètement possible. Elle réussit donc à entrer dans le dortoir des jeunes Serpentards. À peine fut-il assit sur son lit, le jeune sorcier s’endormit dans un profond sommeil. Satisfaite, Mida frotta ses mains ensemble avec un sourire malicieux.

Le dortoir était pratiquement désert. Plus loin, Mida entendit quelques garçons se chamailler. Ce fut donc sur la pointe des pieds qu’elle s’approcha de sa cible. Elle ouvrit discrètement le tiroir de sa petite table de chevet. Il était remplie de papiers, de devoirs -visiblement inachevés- et de... Mais qu’est-ce que c’était? Mida s’arrêta net. Une enveloppe sur laquelle aucune trace ne s’y trouvait. À l’intérieur, qu’une seule feuille de parchemin. Une écriture à la calligraphie quasiment parfaite l’a décorait. Mida l’ouvrit et la parcourut du regard, incapable de contrôler sa curiosité. Une lettre d’amour, voilà ce que c’était! Mida ne pu s’empêcher de rire en voyant ces tendres mots ridicules. Or, elle stoppa ses rires lorsqu’elle vu son prénom en bas de page. * Oh le pauvre! * , songea-t-elle soudainement mal à l’aise.
La blondinette referma le tiroir, n’osant plus fouiller dans ses affaires. Elle repartie alors, ni vue, ni connue.

Mida savait désormais que ce jeune homme ne lui voulait pas de mal, au contraire! Mais il y n’en restait pas moins que ses regards furtifs l’agaçaient. * Oh le pauvre, songea-t-elle à nouveau, ce doit être un filtre d’a... Mais oui! La voilà la solution! * À peine fut-elle retrouvée devant son dortoir, qu’elle fut repartie. Elle se doutait fort bien que c’était là une bonne idée que de lui administrer une deuxième potion, mais envahie par une vague d’égoïsme, Mida ne trouva aucune autre solution. Elle passa donc toute la nuit à concocter une potion de confusion. Après d‘innombrable erreurs et essaies, Mida parvint à obtenir un résultat qui lui semblait parfait. La sorcière en prit un échantillon qu’elle mit rapidement sous son oreiller. Elle regarda une dernière fois sa montre avant de fermer les yeux; elle indiquait 6h24 ...

L’heure suivante, Mida du se lever. Cernée jusqu’aux oreilles, la jeune sorcière s’habilla avec une lenteur phénoménale. Elle bailla à plusieurs reprises avant de descendre prendre son petit déjeuné dans la grande salle. Mida salua gaiement ses nouvelles amies de Serdaigle qui l’invita à s’asseoir avec eux quelques instants. D’ordinaire, Mida refusait ce genre d’invitation par dignité envers sa maison. Or, ce matin-là, la Serpentarde remarqua son admirateur secret, bien assis, à la table des bleus et bronzes, la tête haute. Juste à côté de lui, une jeune fille, remarquablement belle, s’y trouvait. Elle avait de magnifiques cheveux bruns, légèrement vagués, qui faisait nuance avec ses yeux pâles et brillants. Mida lui adressa un sourire avant de s’asseoir juste en face d’elle, de sorte à ce qu’elle se retrouva en diagonal de sa cible. Sur la table, une panoplie de verres s’y trouvaient. Certains sirotaient une délicieuse tasse de thé tandis que d’autres, plus conventionnels, préférait le jus d’orange fraîchement pressé. Mida passa vigoureusement ses mains entre ses cheveux fins et frotta ses yeux avec les jointures de ses index. La fatigue l’envahissait à un tel point que ses paupières se fermaient toutes seules. Or, Mida attendait le moment propice. Elle espérait que le jeune homme détourne le regard, ne serait-ce qu’un instant, juste pour avoir le temps d’accomplir sa tâche...

Au bout de cinq minutes, Mida remarqua que les professeurs qui passaient s’étonnait de voir deux Serpentards assis à cette table. La jeune sorcière agit donc sur l’impulsivité. D’un coup, elle laissa tomber quelques gouttes de la potion dans ce fameux jus d’orange que bien sûre... * Oh! Mais qu’est-ce que ... ?!* Les yeux ronds, le cœur qui battait de plus en plus vite, les joues qui s’empourprèrent rapidement de rouge... Telle fut sa réaction lorsqu’elle vu, à son grand désespoir, cette jeune Serdaigle, aux magnifique cheveux longs et aux yeux brillants, avaler rapidement le contenu de son verre dans lequel Mida venait d’y verser les gouttes de la folie...

Mida posa une main sur sa bouche et détourna le regard, trop mal à l’aise par l’erreur qu’elle venait de commettre. Que lui arriverait-elle ? Cette potion avait pour but de rendre fou le jeune sorcier afin de détourner ses attirances... Une potion inspirée du fameux magasin farces et attrapes, apparemment très convoité le premier jour d'Avril. L’effet était de courte durée, heureusement! Mais qui sait ?! Peut-être Mida avait-elle commis une deuxième erreur dans la confection de sa potion ? ...


Dernière édition par Mida Valérie Biel le Lun 26 Sep - 2:17, édité 1 fois
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Charlie A. Robbins
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MessageSujet: Re: C'est ainsi que notre guerre commença. [Privé à Mlle. Anne R. Taylor] C'est ainsi que notre guerre commença. [Privé à Mlle. Anne R. Taylor] EmptyDim 25 Sep - 22:48

Je me réveillai fatiguée de ma nuit. J'avais dormi longtemps m'étant couché tôt, et vraiment bien pourtant. Mais faire les quatre-cent coup dans des rêves plus absurdes les uns que les autres n'était pas des plus reposant. Dans l'un d'eux je me baladai en pleine forêt, de nuit évidement, et j'étais poursuivis par un monstre sanguinaire, bavant et crachant à mesure qu'il s'approchait de moi. J'avais fini par réussir, d'un coup de baguette à l'aveugler pour m'enfuir en transplanant. Chose qu'il m'est pour le moment impossible de faire. Étant donnée que l'apprentissage du transplanage se fait entre la 6ème et la 7ème année. Dans un autre plus sympathique mais tout aussi stupide, voir plus, je marchais sur une plage de poudre à bonbons, me baignais dans du jus de citrouille, et léchais de géantes sucettes multicolores aux goûts multiples. J'étais entourée d'ours en peluche multicolores et les nuages était fait de barbe à papa. Enfin dans un dernier j'étais avec un garçon dont il m'était impossible de savoir l'identité, mais nous étions visiblement assez proche, rien de bien méchant cependant. J'avais vraiment un esprit tordu pour rêver de choses pareils. J'avais même pensé durant l'un de mes brefs réveils de nuit que quelqu'un avait la veille, versé quelque chose d'illicite dans mon verre, ou bien que j'avais peut être un peu abusée de la merveilleuse bièraubeurre servit par Madame Rosmerta. La seconde explication paraissait plus plausible. Je souhaitais cependant retenir ces trois rêves plus que brefs. Le premier pour éviter que cela n'arrive, le second pour le plaisir. Après tout, ce n'est pas tous les jours qu'on se retrouve dans un monde de bisounours avec des sucreries partout. Et le dernier... et bien pour le plaisir aussi, d'autant plus que j'avais dans l'espoir de croiser le beau jeune homme de mon rêve dans les couloirs ou autre part. Et naturellement, si je ne me rappelais plus de lui, je ne saurais le reconnaître.

Ayant fait le plus désagréable en premier, je m'étais réveillé joyeuse, presque un sourire aux lèvres. Ma journée ne devrait pas être trop difficile, même plutôt calme. Je n'avais pas cours avant au moins trois bonnes heures. Je filai donc à la salle de bain me préparer. Puis je descendis à la salle commune pour petit-déjeuner, j'irai ensuite potasser à la bibliothèque. Il était hors de question que je perde du temps à ne rien faire cette année, il fallait que nous travaillions et les professeurs se plaisaient à nous le rappeler. D'ailleurs, ils ne se gênaient guère de nous donner des tonnes de devoirs à faire, prétextant les examens de fin d'année, ces fameuses B.U.S.E. Craintes par tout élève quelque peu censé.

J'arrivai donc tranquillement à la salle commune, d'autres élèves de serdaigle étaient déjà attablés et il ne restait que très peu de places. Je m'assis entre Rose et un élève de serpentard que je ne connaissais pas. Que venait-il faire là d'ailleurs, je ne l'avais jamais vu assis à cette table. Non pas que cela me dérangeais, non au contraire, toute nouvelle connaissance est la bienvenue, même si celle-ci est chez les vert et argent. Mais cela me surprenait. Je remarquai par ailleurs, que la place en face de moi était vide, de ce fait j'aurais moins de difficultés à observer les autres élèves qui déjeunaient à d'autres tables et par la même occasion, percevoir quelques unes de leurs croustillantes conversations pleines de ragots. Je saluai l'attablé leur souhaitant bon appétit. Je me servis un verre de jus d'orange et pris un morceau de pain avec de la confiture. Quoi de plus délicieux pour commencer la journée qu'un bon petit déjeuner aux tendances plutôt françaises. Ce matin là, je ne fus pas très active dans les conversations qui se tenaient à tables, j'étais concentrée sur les rêves que j'avais fait. Je m'amusai de temps en temps, lorsque je ne pensais plus à mes songes, à lire sur les lèvres des élèves trop éloignés de moi pour que je puisse les entendre. Cependant, je ne réussi à récupérer une quelconque histoire intéressante.

Je fus sortis, quelques minutes plus tard de mes rêveries. Une jeune élève vêtue de vert et d'argent s'était arrêtée juste en face de moi, puis m'avait souris comme pour me demander la permission de s'asseoir ici. Je lui rendis ce sourire en signe d'approbation puis elle s'assit. Elle non plus, je ne la connaissais pas. Je cru comprendre qu'elle s'appelait Mida. Elle semblait très fatiguée, se frottant vigoureusement les yeux. Il m'était maintenant impossible d'espionner mes camarades. Je détournai mon regard vers mon voisin, il semblait drôlement gêné, et avait le regard fuyant. Je me retournai à nouveau vers la jeune fille, elle, semblait très impatiente voir complètement excitée. Décidément, je ne comprenais rien à ce qui se passait à cette table. Je me demandai si je n'avais pas oublié quelque chose, quelque chose d'important, ou si je n'avais pas été avertie d'un événement bouleversant certains élèves. Je ne m'inquiétai pas d'avantage, s'il devait se passer quelque chose, je finirai bien par le savoir. Je regardai sur la table, cherchant mon verre. Je l'attrapai, bus d'un trait son contenue puis le reposai sur la table. Le jus d'orange avait un goût étrange, mais il n'était pas mauvais. Il était même plutôt bon.

Je regardai autour de moi, Mida regardai ailleurs, à présent c'était elle qui avait le regard fuyant. Je senti tout d'un coup une énergie phénoménale monter en moi. J'avais envie de danser, courir, chanter, sauter. Tout me paraissait possible. Était-ce le jus d'orange qui me faisait cette effet ? C'était étrange, je n'étais tout de même pas la seule à en avoir bu. Je ne savais plus où donner de la tête, le monde tournait à présent autour de moi. Il tournait de plus en plus vite, tout se déformait, mes camarades semblaient aspirés dans un tourbillon sans fin avec pour centre, moi. Je fermai les yeux dans l'espoir de ne plus rien voir. C'était mal espéré, j'eus l'impression de tomber dans un trous noir, de faire une descente aux enfers. Je poussai un cris strident, rouvrant les yeux en sursaut. Je regardai de nouveau autour de moi affolée, les yeux écarquillés et prenant de grandes bouffées d'air à chaque inspiration. A présent tout était redevenu normal. Tout sauf les visages ahuris des personnes autour de moi. Je me calmai au bout de quelques minutes, je ne dis aucun mot. Il semblait que mon cris les ait surpris, ce que je comprenais tout à fait. Moi même j'avais été surprise. J'avais honte, j'étais gênée de tout ces regards posés sur moi. Je posai mes coudes sur la table et mis ma tête entre mes mains, fermant les yeux, tout en essayant de me calmer, de ne plus penser à ce qui venait de se passer. A présent j'allais mieux, encore déboussolée mais mieux. J'avais besoins de silence, rien que du silence.
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MessageSujet: Re: C'est ainsi que notre guerre commença. [Privé à Mlle. Anne R. Taylor] C'est ainsi que notre guerre commença. [Privé à Mlle. Anne R. Taylor] EmptyMar 27 Déc - 2:22

Lorsqu’elle était petite, Mida avait été prévenu par son père biologique; il lui avait dit que les potions seraient un jour une matière qui lui serait enseignée à l’école. Un peu plus tard, il avait mentionné que c’était une chose dangereuse que de laisser son verre parmi un amas de sorciers inconnus et de revenir s’y abreuvé quelques minutes après. Les potions, avait-il dit, est une matière extraordinaire, mais qui peut nous apprendre à concocter des élixirs mortels. « Il faut être vigilent, car une fiole est une arme aussi redoutable que la baguette que tiens ton ennemi. »

À ce moment-là, dans la grande salle, Mida se remémorait ce que son père lui avait dit. La demoiselle avait toujours prit au sérieux son avertissement, jusqu’au soir où elle même s’était décidée d’en finir avec ce jeune homme stupide. Son père l’avait aussi prévenu de toujours suivre à la lettre les recettes prescrites par le professeur, sans quoi une seule erreur pouvait provoquer des symptômes déplaisants à quiconque qui buvait une potion mal dosée. Hélas! Mida avait renoncé à écouter les conseils judicieux de son paternel et, intérieurement, elle le regrettait. Cette pauvre Serdaigle... Qu’aurait-elle fait à sa place ? Elle n’aurait guère mieux fait après avoir lâché cet effroyable hurlement. Mida aurait aussi rougit et n’aurait su quoi dire. Peut-être aurait-elle prit la poudre d’escampette, trop gênée par ces regards intimidants ?

Mais la jeune sorcière aux longs cheveux bruns restait là. *Quel courage! *,pensa-t-elle. Enfaite, la jeune Biel était plongé en pleine dualité. D’un côté, elle s’inquiétait pour la victime de sa propre maladresse et de l’autre, une envie presque irrésistible de rire la tourmentait. Bien sûre, il fallait l’admettre, son côté de “Serpentarde maligne et cruelle” ne s’était tout de même pas envolé. Ce cri strident et ridicule était bel et bien la cause de ce petit rictus gêné qu’elle n’avait pu retenir. Après quoi, celle-ci avait été très observatrice. Hier soir ( ou devrais-je dire la nuit passée ), Mida n’avait pas même eut la conscience de s’informer sur les effets exactes de la potion. C’était trop long, elle n’avait pas le temps! * Et puis de toute façon, je le verrai bien demain *, s’était-elle dit à soi même. Mais voilà que maintenant, ce n’était pas la bonne victime et visiblement, pas même ce à quoi Mida s’attendait comme manifestation de folie.

Plus Mida Valérie Biel pensait à son délire et à celui de sa voisine de table, plus elle trouvait son idée stupide. Plus les secondes s’écoulaient sans que personne ne parlent, plus elle ne comprenait pas qu’il lui avait prit de faire cette bêtise. Or, il ne fallait plus y penser. Il fallait agir. Ce qui avait été fait est fait et quiconque ne pourrait le changer. À partir de ce moment, Mida agit encore une fois sur l’impulsivité, mais cette fois-là, pour se reprendre.

« Hum, ... Est-ce que... Est-ce que ça va ?, reprit-elle. Peut-être devrais-tu aller à l’infirmerie si tu t'sens... Enfin... Je...»

Alors que Mida pensa à quoi rajouter, elle eut un éclair de génie. Le jeune amoureux, qui était tout juste assis en diagonal de la jeune Biel venait de se lever. Peut-être avait-il jugé bon de retourner à sa table respective après l’incident. Mida pensa alors que de retourner cette catastrophe sur sa faute pouvait être une bonne alternative pour éviter une querelle. Alors elle s’élança :

« Oh ce salaud!, s’exclama-t-elle en prenant le verre de la victime. Je crois bien qu’il a versé quelque chose dans ton verre ce gamin. Hurm! Viens, je t’amène voir l’infirmière. »

Toute suite, Mida déposa son verre sur la table et contourna cette dernière et prit la jeune Anne par le bras pour l’aider à se lever. Alors que Mida repensait à son mensonge, miss Taylor parla.
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